Selon la BFA, les résultats sont bons malgré un contexte très difficile











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Connue de bien des amateurs de salaisons, la société Marcassou s’est longtemps battue pour que le jambon et le saucisson d’Ardenne puissent bénéficier de l’appellation « Indication géographique protégée ». Aujourd’hui, l’entreprise souhaite garantir aux consommateurs que ses produits sont fabriqués à partir d’une viande locale issue de porcs élevés dans le strict respect du bien-être animal. Ces deux engagements se traduisent par la création du label « Le cochon bien-être ».

Le Parlement européen a adopté à une large majorité (558 voix contre 37 et 85 abstentions) le 10 juin une résolution en réponse à l’initiative citoyenne européenne End the Cage Age en faveur de l’interdiction progressive, d’ici 2027, de l’élevage en cage d’animaux d’élevage, après la publication par la Commission européenne d’une évaluation d’impact.

En dépit de toutes les perturbations induites par la Covid-19, l’industrie laitière maintient son rythme d’investissements en investissant en 2020 davantage qu’en 2019. Les transformateurs laitiers confirment ainsi leur confiance en l’avenir.

Suite à cette découverte, une zone tampon temporaire avec des mesures supplémentaires est mise en place autour du foyer.

Située à Sinsin, à cheval entre les provinces de Namur et du Luxembourg, la Ferme du Bairy a connu de nombreux changements durant ces vingt dernières années. Arrivée d’une nouvelle génération, aménagement d’un atelier de transformation, conversion à l’agriculture biologique, construction d’un poulailler… ont quelque peu métamorphosé la ferme familiale. Julien Dawagne, associé à sa maman, Marielle Leboutte, depuis 2015 nous fait faire le tour du propriétaire.







Stimulées par la demande des consommateurs, certaines filières bio, tant animales que végétales, ont enregistré un taux de croissance relativement élevé en 2020. Rares sont d’ailleurs les spéculations à être en grande difficulté ! Le bio wallon s’affiche donc en excellente forme, confirmant une tendance amorcée voici plusieurs années déjà et qui se traduit par la hausse du nombre de fermes engagées dans ce mode de production.

La crise de la Covid-19 a mis en exergue les évolutions de prix significatives que connaît la filière viande bovine en Région wallonne depuis la fin du printemps 2020. Fait suffisamment rare, le prix carcasse est en effet passé à 5,45 €/kec fin mai 2021, soit une hausse de 0,75€ en un peu plus d’1 an. Les producteurs élus au Collège des Producteurs ont été interpellé par ces fluctuations, et en ont fait le thème de leur 13e assemblée sectorielle.

Pouvoir placer de la viande bovine locale dans l’Horeca est un enjeu stratégique pour la filière. La coopérative « En direct de mon élevage » l’a bien compris et a, pour ce faire, initié un partenariat avec l’entreprise Chasal, qui fournit de la viande fraîche au secteur horeca en Wallonie et à Bruxelles. Leur stratégie qui pourrait très vite s’avérer payante.

La Wallonie vient d’adopter son Plan de développement de la production biologique à l’horizon 2030. Avec un objectif clair : atteindre les 30 % de surface bio à son terme, conformément à ce qui avait été annoncé dans la Déclaration de politique régionale 2019-2024.

Le 4 mai, l’Institut de l’élevage (Idele) a présenté sa biennale Grand Angle Ovin, à Paris. Cette journée d’étude a permis de passer en revue tous les travaux de recherche français sur ledit élevage. La recherche sur l’élevage ovin étant quasiment inexistante dans notre pays, nous pouvons en apprendre beaucoup de nos voisins. Douze sujets différents avec un large spectre ont été discutés. Dans cet article, nous rendons compte de la première partie du séminaire, mais nous donnons d’abord un bref aperçu de l’importance de l’élevage ovin en France.
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