Peste porcine africaine: des éleveurs gaumais attaquent l’arrêté Ducarme au Conseil d’Etat

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementSuite à l’épidémie de peste porcine africaine touchant le sud de la province de Luxembourg depuis mi-septembre, un périmètre infecté de 63.000 ha avait été délimité par les autorités wallonnes et fédérales, en collaboration avec l’Europe.
En 1992, Joël Gresse, âgé de 19 ans, reprend la moitié de l’exploitation familiale à Rettigny. La ferme déjà mixte, comptait alors une centaine de bêtes, exploitait 40 hectares pour un quota de 60 000 litres de lait. Progressivement, il décide d’engraisser une partie importante du cheptel. Une envie bien présente depuis son installation. Une tâche qui demande une gestion plus ardue mais nettement plus valorisante.
Le Conseil des ministres a débloqué vendredi 2,2 millions d’euros pour soutenir l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (AFSCA) dans le cadre des coûts opérationnels engendrés par l’épidémie de peste porcine africaine (PPA), a annoncé le ministre de l’Agriculture, Denis Ducarme.
Plus d’un million d’euros ont déjà été versés aux éleveurs dans le cadre de l’indemnisation liée aux abattages préventifs de porcs dans la zone infectée par la peste porcine africaine (PPA), a annoncé vendredi le ministre de l’Agriculture, Denis Ducarme.
En porcherie, des cas de diarrhée touchant les tout jeunes porcelets surviennent encore souvent en maternité. Le problème n’est pas nouveau. Ce qui a changé, c’est l’approche que l’on peut en avoir : les moyens de diagnostic ont évolué et les options de traitement aussi. Si des bactéries comme E. coli peuvent expliquer la majorité des cas, il ne faut pas oublier qu’un parasite et des virus peuvent aussi jouer un rôle. Des facteurs favorisants peuvent influencer l’apparition d’un cas ou son intensité. Pour n’en oublier aucun, l’approche « Alarme » nous aide à faire le tour de la question.
Ouvert sur le monde et à l’avant-garde des nouvelles technologies propres, ce groupement d’exploitation en commun mène quatre activités en étroite interaction : élevage bovin, cultures, biométhanisation et photovoltaïque. Une rencontre réalisée dans le cadre du Sommet de l’élevage à Clermont-Ferrrand.
Le marché porcin européen fait face à plusieurs défis : politique américaine protectionniste, peste porcine africaine, hausse de la production… Ce qui, d’une part, affecte les relations commerciales qu’entretient l’Europe avec ses partenaires et, d’autre part, rend les cours incertains.
L’épidémie de peste porcine africaine, qui s’est déclarée à la mi-septembre dans le sud de la province de Luxembourg, n’a pas encore atteint son pic, a affirmé le ministre wallon de l’Agriculture, René Collin, interrogé sur la question par plusieurs parlementaires régionaux, lundi, en commission du Parlement de Wallonie.
À Kluisbergen, entité flamande située juste au nord de l’entité wallonne de Mont-de-l’Enclus, la boucherie Vande Walle combine à la fois un petit abattoir et une boucherie. Selon son propriétaire, Ruben Vande Walle, les consommateurs se détournent de la production en masse d’une viande uniforme. Il connaît personnellement les producteurs et choisit les animaux qui passent à l’abattoir.
Pour ses portes ouvertes, Agra Ost s’est invité chez Rainer et Evelyne Lentz au Birkenhof (Amblève), une ferme laitière biologique qui dispose d’un séchoir de foin. L’occasion pour Fourrages Mieux de faire le point sur la technique et ce qu’elle nécessite.
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