Désherbage du maïs (1/3): malgré l’apparition d’une nouveauté, la lutte contre les adventices se complique

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Voir l'offre d'abonnementLe réchauffement climatique transforme profondément le paysage agricole en Wallonie. De nouvelles cultures, comme la vigne, font leur apparition, bien que certaines années, comme 2024, restent difficiles. D’autres cultures, à l’image du maïs, gagnent du terrain dans des régions jusqu’alors peu favorables.
Cette année encore, les fêtes de Pâques marquent un moment fort pour la consommation de viande d’agneau. Mais en 2025, la filière ovine wallonne fait face à un contexte exceptionnellement tendu.
Se plaindre ? Qui donc se plaint de nos jours ? Un peu tout le monde, ai-je l’impression… Les agriculteurs ne sont pas les seuls experts en jérémiadiologie, tant s’en faut ! Il est vrai que nous vivons une période particulièrement rock and roll, où les grands bouleversements économiques et politiques se succèdent à toute vitesse, comme autant de tornades aussi imprévues que dévastatrices, lesquelles envoient valdinguer nos certitudes et notre confiance dans l’avenir.
La septoriose et la rouille brune sont les maladies les plus régulièrement dommageables. De façon moins systématique, la rouille jaune peut occasionner d’importants dégâts par extension de foyers comme observé régulièrement depuis 2014. Ces trois maladies sont prises en compte dans la création des nouvelles variétés de froment dont certaines s’avèrent résistantes.
Utiliser des bâtiments déjà existants, mais inoccupés, pour accueillir des porcs et, de cette manière, ajouter une nouvelle corde à l’arc de son exploitation agricole : c’est ce que propose « Porc sur paille ». Lancée et coordonnée par Jean-Philippe Falque, cette filière s’occupe de trouver les porcelets, d’envoyer les bêtes à l’abattoir, et de la commercialisation auprès des artisans bouchers. Un service « clé en main » qui a séduit la ferme Malfalise. Spécialisée en grandes cultures, la famille Tavernel se charge d’engraisser 200 cochons, qui prennent désormais place dans les anciennes étables.
Dans moins de neuf mois, le recours au registre électronique d’utilisation des produits phytopharmaceutiques sera obligatoire, en lieu et place du format papier. Ce qui s’accompagnera de quelques nouveautés en matière d’information à consigner.
C’est l’un des nouveaux visages au sein du parlement européen. Son patronyme chantant, sa vivacité d’esprit et sa large connaissance du terrain font déjà du socialiste français Éric Sargiacomo une personnalité clef de la commission de l’Agriculture (Comagri) dont il est l’un des vice-présidents. Dans le cadre de la session plénière de ce mois d’avril, nous l’avons questionné sur les sujets qui font bouger l’actualité agricole particulièrement riche en ce début de printemps.
Le temps sec et ensoleillé de ces dernières semaines n’a pas contribué au développement des maladies. Voici la situation de ce mardi 8 avril.
L’avancée des blés durs permet l’application d’une deuxième fraction d’azote mais également d’un régulateur de croissance. En ce qui concerne les maladies, les conditions sèches et ensoleillées ne favorisent pas leur développement.
L’annonce de la mise en place par les États-Unis des droits de douane réciproques a suscité des craintes au sein du Copa-Cogeca qui a tiré la sonnette d’alarme et appelé à la « désescalade ».
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