Courrier des lecteurs : le voyage des montgolfières











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Une nouvelle fois, la météo influence les statistiques relatives aux grandes cultures, tandis que les cheptels porcins et bovins poursuivent leur chemin en pente descendante…

Dans le Tournaisis, Tanguy Duphénieux réinvente un geste agricole aussi ancien que visionnaire : marier l’arbre et la culture. Héritier d’une lignée de populiculteurs, l’agriculteur incarne une agroforesterie wallonne exigeante, enracinée dans la tradition mais tournée vers l’avenir. Loin d’être un simple ornement du paysage, le peuplier devient ici un auxiliaire du vivant, un compagnon du sol et un symbole d’équilibre retrouvé entre production et régénération. Dans le bruissement de ses feuillages se dessine une alliance de raison et de poésie, où l’arbre n’est plus en marge du champ, mais en est le cœur battant.

Lors des observations réalisées ce lundi 3 novembre sur 24 parcelles, aucune n’a atteint le seuil d’intervention (10 % de plantes colonisées par au moins un puceron). Dans 15 parcelles, aucun puceron n’a été observé.

Les conditions pluvieuses et venteuses explique la faible activité des insectes en colza d’hiver. Un redoux et des conditions plus sèches sont annoncées, la surveillance des vols d’insectes devra donc se poursuivre. Le risque lié aux insectes d’automne diminue mais restons attentif car le changement climatique peut nous réserver des surprises.

En raison de la dégradation de la situation, de plus en plus d’éleveurs et de vétérinaires remettent en question le programme de lutte contre l’IBR. Dans un avis, le comité scientifique de l’Afsca indique qu’un arrêt immédiat de la vaccination n’est réalisable que s’il est associé à une série d’améliorations, notamment en matière de biosécurité et de contrôle des établissements commerciaux.







Réunis à Luxembourg le 27 octobre dernier, les ministres européens de l’Agriculture ont affiché leur unité autour du soutien à l’Ukraine, tout en s’opposant sur la structure et le financement de la future Pac. Derrière la solidarité politique, les inquiétudes des filières et les désaccords entre États rappellent combien la réforme s’annonce délicate.

Nous n’en sommes qu’aux récoltes d’automne et il faudrait déjà penser au printemps prochain ? Oui, certainement, et même au-delà ! Cela concerne aussi bien un jardin en bacs sur une terrasse qu’un potager en pleine terre. Entre le temps, les besoins, la rotation… plusieurs facteurs sont à prendre en considération pour mener à bien ce projet.

Je voudrais attirer l’attention du monde agricole ainsi que celui de la chasse. Étant issu du monde agricole et ayant plus de quarante permis, je crois pouvoir donner un avis objectif sur la relation entre les chasseurs, les agriculteurs et les autorités.

L’érosion des parcelles agricoles est un phénomène que tout agriculteur souhaite éviter et ce, pour diverses raisons. Pour y parvenir, plusieurs techniques réduisant de manière plus ou moins importante le travail du sol peuvent être adoptées. De même, il convient de minimiser les périodes durant lesquelles le sol se retrouve nu, totalement exposé aux éléments.

À quelques jours de la Toussaint, nous sommes nombreux à prévoir de fleurir les tombes de nos proches avec des chrysanthèmes. Derrière cette belle fleur d’automne, aux multiples formes et couleurs, se cachent aussi des producteurs qui travaillent depuis plusieurs mois. Entrons dans les coulisses de cette production méconnue.
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