Pac : au cœur d’un bras de fer budgétaire et générationnel











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Les ministres de l’Environnement de l’UE, qui se réunissaient le 18 septembre à Bruxelles, ne sont pas parvenus, comme attendu, à trouver un terrain d’entente sur la mise à jour de la loi européenne sur le climat afin d’établir un objectif climatique intermédiaire contraignant de réduction de 90 % des émissions de gaz à effet de serre pour 2040.

Le jardinier peut être amené à choisir entre un potager sous paillis permanent ou temporaire. La première option protège le sol et limite son dessèchement en période sèche. Elle permet aussi à l’eau de pluie de pénétrer en douceur, limitant ainsi l’érosion et les coulées de boue. Un paillis épais empêche également la germination de nombreuses plantes sauvages. Les revers de la technique est qu’il faut disposer d’assez de matières. De plus, l’absence de paillis facilite les opérations d’entretien, les préparations de sol, les semis, et les binages.

Chez nous, le radis fait partie des légumes classiques. Comme pour plusieurs autres espèces, le marché de gros des radis est largement approvisionné par des entreprises spécialisées et le commerce est international. À côté de celui-ci, il y a une demande de production locale trouvant sa place dans les fermes maraîchères diversifiées.

Les négociations commerciales entre l’UE et l’Inde n’avancent pas aussi vite que le souhaiterait Bruxelles. Et l’agriculture est une des causes de ce ralentissement. Toutefois, l’exécutif européen reste confiant en la conclusion des pourparlers d’ici la fin de l’année. Pour renforcer les liens avec l’Inde, l’UE s’est dotée en parallèle d’un agenda stratégique.

Du temps de ma grand-mère, il était de coutume d’aller chez la couturière pour faire « piquer » une couverture. Un tissu de qualité avec souvent des motifs floraux et à l’intérieur, une belle laine. L’ensemble était grillagé d’une multitude de points de couture afin de retenir uniformément la laine sur toute la couverture. De qualité, chaude et lestée, chaque couverture piquée était ainsi un beau produit artisanal et unique.







Les baux à ferme verbaux, conclus d’une simple poignée de main, reflètent une tradition ancestrale de nos campagnes. Cependant, cette habitude est source d’insécurité et, sur volonté du législateur, doit céder sa place à l’accord écrit. Un contrat qui ne présente que des avantages, à en croire les notaires David Remy et Alain Caprasse, habitués à rappeler combien le bail écrit sécurise et clarifie la relation entre bailleur et preneur.

L’enseigne « D’ici » poursuit son développement. Le 24 septembre dernier, un troisième magasin a ouvert ses portes à Champion, au nord de Namur. Sur 400 m², les consommateurs y trouveront plus de 2.000 références issues de 250 producteurs locaux.

La récolte belge de céréales 2025 marque un retour à la stabilité après plusieurs années perturbées par des conditions climatiques extrêmes. Les rendements se situent autour, voire légèrement, au-dessus des moyennes de long terme, la pression des maladies est restée exceptionnellement basse et la qualité s’est révélée homogène et élevée, avec de bons poids à l’hectolitre.

À 17 ans, Jonas, passionné par le monde agricole et la mécanique, fabrique un « repousse-crèche » pour faciliter le travail des éleveurs chez qui il donne régulièrement un coup de main. Une rencontre empreinte de bienveillance, de fierté et de résilience.

Au fond, pourquoi travaillons-nous ? Notre activité a-t-elle du sens ? Qu’apporte-t-elle à la société ? Fait-elle tourner le monde ?
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