Viande, œufs et produits laitiers sont des sources «essentielles» de nutriments

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementReconnaissable à l’éléphant rose ornant son étiquette, la bière Delirium fait voyager de l’orge brassicole et du houblon belges à travers le monde entier. La Brasserie Huyghe, qui a fait de la durabilité sa philosophie, a pour point d’honneur de s’approvisionner localement en matières premières. Elle doit néanmoins jongler avec les disponibilités, actuellement insuffisantes, et invite les agriculteurs belges à cultiver de l’orge brassicole.
Parfois s’intéresser aux bières et aux spiritueux nous mène à la découverte d’une nouvelle plante et sa culture. C’est ainsi, qu’au travers d’un gin et d’une bière blanche, j’ai découvert le safran, et plus particulièrement celui d’Anthony Minet et Pauline Ernoux qui croît depuis plus de 10 ans sur un terrain familial à Thorembais-Saint-Trond. Anthony nous explique son histoire, celle d’un produit familial de qualité, né de l’envie de tester et d’innover.
Des chaudières à la groseille, il y a un improbable fossé que Gilles Léonard a enjambé avec bonheur. Cet amoureux de la terre s’est un jour replongé dans les joies de son enfance. Celles qui contiennent peu de mots et sont pleines de couleurs, dont on choisirait le rouge, synonyme de tendres baies acidulées comme des bonbons, qui se nichent dans la douceur du vert, et se balancent entre ombre et lumière…
Trois ceintures alimentaires wallonnes bénéficieront bientôt d’un renfort financier. L’objectif ? Accroître leur visibilité et booster leur développement tout au long des années 2023 et 2024.
Face à l’explosion de leurs coûts de production, une centaine de fruiticulteurs wallons et flamands se sont rendus ce 6 février au siège de Comeos, la Fédération belge du commerce et des services, afin de faire entendre leur voix. Ceux-ci dénonçaient, notamment, la hausse de leurs coûts de production et ce, alors que « les marges dégagées par les grandes surfaces permettraient de rémunérer équitablement les producteurs sans que les consommateurs ne soient obligés de payer plus », affirment-ils.
Bruxelles, à la fois une ville et une région qui s’inscrit dans un contexte institutionnel fédéral belge qui ne simplifie pas ses relations avec les régions voisines, tente depuis plusieurs années le pari d’une certaine autonomie alimentaire.
Du 1er au 31 mai, le Hainaut accueillera une nouvelle édition de « Rendez-vous en terre agricole ». Organisé sur l’entièreté du territoire provincial, à l’initiative de Hainaut Développement, cet événement s’adresse aux citoyens en vue de faire connaître le métier d’agriculteur et aux agriculteurs pour participer à des rencontres et des échanges entre pairs. Alors, pourquoi ne pas y participer ?
Le 29 septembre dernier, le Gouvernement wallon a adopté, en concertation avec les acteurs concernés, un nouvel arrêté concernant les cotisations à verser auprès de l’Apaq-w par les personnes physiques ou morales qui produisent ou transforment des produits agricoles et agroalimentaires. Ce nouveau système est entré en vigueur le 1er janvier dernier.
Les prix des produits alimentaires mondiaux ont fléchi pour le neuvième mois consécutif en décembre dernier, en recul de 1,9 % par rapport à novembre. Ils demeurent inférieurs à leur niveau d’il y a un an, pour ce même mois de décembre.
« Avec quelque 4 millions de consommateurs sensibilisés et plus de 1.500 professionnels formés, la campagne « Moments Authentiques » pour la promotion de la viande bovine locale est un succès », se félicite Amandine Vandeputte de l’Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité (Apaq-w), lors de la conférence de clôture de ladite campagne, à Ophain.
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