Cultures

Après un bref rappel du contexte réglementaire, cet article propose un tour d’horizon des outils de Protect’eau disponibles pour simplifier vos démarches lorsqu’il s’agit de choisir des buses ou de respecter les zones tampon.

Le service de prévisions de la Commission européenne Mars a réduit ses estimations de rendements pour les grandes cultures d’été dans l’Union européenne, en conséquence du manque d’eau et des fortes températures encore observés ces dernières semaines.

Au 10-12 août, après quelque 115 jours de culture, les rendements moyens étaient estimés à 36,6 t/ha en Fontane et 34,2 t/ha en Challenger. Les PSE étaient élevés, voire excessifs, la sénescence limitée, mais le retour de pluies abondantes est impératif !

En Wallonie comme ailleurs, l’augmentation de la fréquence des épisodes de sécheresse perturbe les systèmes fourragers. Le ray-grass anglais est la graminée la plus utilisée dans les mélanges fourragers et la plus présente dans les prairies permanentes, mais elle est particulièrement sensible au déficit hydrique et aux températures caniculaires.

La période idéale pour le semis du colza d’hiver se situe entre le 20 août et le 5 septembre. Il faudra profiter des opportunités de pluies ou d’orages pour que les sols très secs retrouvent un peu d’humidité et permettent la germination des semences et une levée rapide des plantules.

Le ministère américain de l’Agriculture prévoit une récolte record de maïs en hausse de 12 % par rapport à 2019.

L’Irbab invite les producteurs concernés à surveiller de près l’état des plantes dans leurs parcelles.

Après 35 ans de carrière à la direction des services agricoles provinciaux et du Carah, Michel Van Koninckxloo livre les éléments clés du bilan qui vient d’être publié sur 30 ans d’évolution de l’agriculture en province de Hainaut. « Celle-ci a su s’adapter et saisit aujourd’hui des opportunités pour se développer de manière raisonnée et même, dans certains cas, se tourne vers une agriculture plus familiale et biologique. »

Selon les variétés et les dates de plantation, la sénescence des cultures manifeste une grande variabilité, note la Fiwap dans son avis du 18 août.

Vous les avez peut-être aperçus l’automne dernier, des moutons broutaient des couverts d’interculture à plusieurs endroits en Wallonie. C’est une façon de transformer la contrainte de couverture du sol en une opportunité, celle de valoriser facilement le couvert en fourrage, même si l’on ne possède pas d’animaux, tout en préservant l’environnement et la qualité des eaux souterraines ! Mais quelles sont les modalités et est-ce une bonne idée ?