Pour sa 11e édition, le concours «Qu’elle est belle ma prairie!» mise sur l’autonomie fourragère











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Le Service public de Wallonie et l’asbl Fourrages Mieux ont mis au point un « logiciel informatique dégâts de gibier » aidant les experts agronomes à estimer au plus juste le montant des dégâts de la faune sauvage (espèces gibier et espèces protégées) lors d’expertises en zone agricole de la Wallonie.

Lors du Forum de l’autonomie fourragère, Pieter Van Rumst, conseiller en pâturage, a abordé le concept et les principes du pâturage tournant dynamique (PTD). « Gagner trois tonnes de matières sèches à l’hectare en prairie pâturée, est-ce pertinent ? », a-t-il questionné, mettant en avant l’intérêt de maximiser la croissance et production de l’herbe.

Une quinzaine d’agriculteurs bio ont accueilli, le 20 février dernier, la ministre de l’Agriculture Anne-Catherine Dalcq pour lui présenter les atouts de leurs filières, de leurs structurations et débouchés.


Lors de la 4e édition du Forum de l’autonomie fourragère, Benoit Sidel, nutritionniste indépendant dans les Vosges, a partagé son expertise sur l’efficacité alimentaire et la stabilité ruminale. Deux thématiques essentielles pour les éleveurs soucieux d’optimiser la valorisation de leur ration tout en garantissant le bien-être et la productivité de leur troupeau.







Les eurodéputés de la commission de l’Agriculture ont appelé, le 18 février dernier, l’UE à lancer un plan d’action pour lutter contre les maladies bactériennes affectant la betterave sucrière.

De nombreux rapaces sont actuellement observés dans les campagnes. Fort de ce constat, l’Institut royal belge pour l’amélioration de la betterave (Irbab) recommande, dans un message adressé aux planteurs le 27 février, de profiter de leur présence et d’installer préventivement des perchoirs dans les zones dégagées pour favoriser la prédation naturelle des mulots, surtout près des zones à risques.

Les GO-PEI ou « groupes opérationnels du partenariat européen pour l’innovation » sont des outils concrets d’implémentation de l’Akis. Ces structures clefs ont pour objectif de développer et tester des solutions innovantes répondant aux besoins du terrain. Elles visent aussi à transformer les résultats de la recherche en pratiques agricoles concrètes. Ce dispositif original associe agriculteurs, scientifiques, institutions de recherche, consultants, vulgarisateurs pour répondre à des questions de terrain.
La journée du 19 février a été l’occasion de présenter quelques projets innovants.


Le grand dialogue stratégique engagé par la commission à la suite des manifestations du début de l’année 2024 s’était achevé en septembre dernier sur une série de recommandations pour assurer la viabilité de l’agroalimentaire européen. Recommandations dont s’est nourri le commissaire Christophe Hansen pour rédiger sa feuille de route, en étrillant au passage la stratégie « De la fourche à la fourchette ». La question du budget que nécessitera la mise en œuvre du catalogue de mesures égrainé par l’Exécutif reste toutefois ouverte…
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