Abattoir de Bastogne: deux repreneurs s’associent pour un investissement de 16 millions d’euros

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Voir l'offre d'abonnementLe Herd-book Limousin Belge a permis à une quarantaine d’éleveurs de se rendre dans le berceau de la race pour non seulement visiter le pôle de Lanaud, la station de Mossours ainsi qu’un élevage reconnu des quatre grands départements du Limousin (Haute-Vienne, Charente, Dordogne et Creuse). Retour sur la première partie d’un programme plutôt dense.
Cette fois, ça y est ! Nos commissions agricoles communales ont activé le plan « sécheresse ». Y’a plus qu’à déclarer ses pertes, comme on dit ! Évidemment, les PV de constatation ne ramèneront pas la pluie, mais au moins, les dégâts seront objectivés et consignés de manière officielle. Il s’agit là chez nous de la dernière péripétie d’une année réellement bizarre, jalonnée de surprises plus effarantes les unes, plus inquiétantes les autres…
Le Space vit ses 35 ans dans un contexte marqué par des changements très rapides et radicaux sur les plans géopolitiques, sanitaires, climatiques, et par conséquent économiques. Ces trois jours sont une opportunité de se rassembler, s’informer, partager, échanger… des évolutions et des enjeux du monde de l’élevage, pour le bénéfice de tous ses acteurs.
Bernard Gotta (Viande Liège) et Marcel Peters (PEMA Group) investissent 16 millions d’euros dans la reprise de l’abattoir de Bastogne, ont-ils annoncé mercredi matin lors d’une présentation du projet en présence des autorités bastognardes et wallonnes. Le début des travaux est prévu pour 2024. Le projet comprend notamment le doublement de la surface des étables et la modernisation de la chaîne d’abattage.
Diverses tendances s’opposent actuellement dans les filières végétales bio. Certaines se développent tout en rencontrant la demande des consommateurs tandis que d’autres se caractérisent par une offre excédentaire. À cela s’ajoute la hausse généralisée des coûts de production. Le scepticisme est de mise chez de nombreux producteurs.
Pour s’affranchir du gaz russe et anticiper toute interruption brutale dans l’approvisionnement, la commission a proposé aux États membres un plan de réduction de 15 % de la consommation de gaz sur une période de huit mois (du 1er août 2022 au 31 mars 2023), dans lequel le secteur agroalimentaire est considéré comme prioritaire.
En dépit d’une détente des prix du blé après six mois de guerre en Ukraine, la situation pourrait « basculer de nouveau » sans montée en puissance des exportations de la mer Noire, a indiqué mardi le cabinet d’analyses Agritel (Argus Media France).
Depuis 14 ans, le Festival AlimenTerre est un espace d’informations et d’échanges sur les enjeux fondamentaux de l’alimentation et de l’agriculture dans le monde. Du 13 au 17 septembre il proposera simultanément des projections suivies d’échanges dans différents points de rencontre.
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