Évolution de l’humidité du maïs grain











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Le réseau d’observation des insectes ravageurs est remis en place, cet automne : 25 parcelles de colza d’hiver ont été suivies le lundi 14 septembre exceptionnellement chaud, pour la surveillance de la culture confrontée à une importante sécheresse.

Les conditions climatiques de la dernière semaine ont permis un important progrès du maïs ensilage de l’ordre de 3 à 4 % de matière sèche partout en Wallonie. Et les températures records de cette fin d’été accélèrent le mouvement.

Le Copa et la Cogeca confirment un recul global en blé et en colza et s’alarment des graves situations de trésoreries des céréaliers européens


Dans le cadre de la disparition du CIPC et en vue de l’acceptation d’une LMR temporaire par la Commission européenne, Belgapom a accepté de participer au plan d’échantillonnage des hangars de pommes de terre prévu durant la prochaine période de stockage.







À Dongelberg, Olivier De Backer a investi dans un drone agricole en vue de proposer un nouveau service à ses clients, allant du survol et de l’analyse de leurs parcelles à l’application modulée d’azote en fonction des besoins des cultures. Divers événements l’ont cependant conduit à stopper temporairement cette activité, après deux saisons sans encombre et 500 ha survolés. Il n’abandonne pour autant pas son projet, convaincu que la demande pour ce type de prestation grandira dans les années à venir.

Durant leur développement, les parcelles de colza peuvent être la cible de plusieurs ravageurs, parmi lesquels figure l’altise d’hiver. Si un panel de pratiques culturales permet de réduire l’impact de ce ravageur sur les jeunes plantes, il convient de mener la culture avec précision et vigilance pour assurer leur efficacité.

Les conditions climatiques de la dernière semaine ont permis aux taux de matière sèche de gagner 1 à 2 %.

Moins 12 %, telle est la baisse de la production céréalière dans notre pays, par rapport à l’an dernier, indique la fédération des grains Fegra.

Un peu plus de vin que l’an passé, mais des niveaux de production contenus surtout pour les appellations: l’année viticole 2020 en France devrait surtout rester marquée par le démarrage très précoce des vendanges dû au climat, a indiqué le ministère de l’agriculture.
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