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«Notre travail consiste à maintenir la rentabilité de la culture de la pomme de terre»

pommes de terre À la tête de Belgapom depuis maintenant deux ans, Christophe Vermeulen n’a pas connu des débuts tranquilles. Les crises se succèdent, en effet, depuis l’entame de son mandat. D’une part, en 2020, la pandémie a fortement influencé les prix de vente des précieux tubercules stockés. D’autre part, la filière a dû faire face à des conditions météorologiques opposées, passant d’une pluviométrie excessive en 2021 à la sécheresse de l’été 2022. S’y ajoute la hausse continue des coûts de production…
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«Les prix des céréales se maintiendront à des niveaux élevés»

L’impact de la guerre en Ukraine sur les marchés céréaliers est important depuis le début de l’invasion russe. L’Union européenne apparaît comme un des plus gros exportateurs mis à contribution pour suppléer les blés russes et ukrainiens. Côté prix, tout dépend de l’évolution de la demande, prévue en baisse par le cabinet d’études agro-économiques Tallage, bien que celui-ci estime que leurs niveaux resteront élevés jusqu’en 2022-2023.

Utilisation et échanges de céréales s’intensifient

La Fao a mis à jour, ce 3 février, ses prévisions concernant la production mondiale de céréales en 2021, qui s’établissent à présent à 2.793 millions de tonnes, soit une hausse de 0,8 % par rapport à l’année précédente.

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Marchés des grains: la hausse des cours se poursuit

Durant le dernier trimestre 2021, les prix de l’ensemble des matières premières ont continué leur dynamique haussière dans un climat de forte volatilité. Face à des bilans mondiaux qui se tendent les marchés sont très réactifs à chaque nouveau facteur d’incertitudes (climatiques, douanières, sanitaires…).

Marché des grains: pas de baisse en perspective!

Les récoltes de céréales dans l’hémisphère Nord ont accusé de sérieux retards. Si celles de blé tendre sont désormais achevées, celles de maïs ne sont pas toutes terminées. La fermeté des cours est toujours de mise dans le contexte de forte demande mondiale, de prix des énergies élevés et de nervosité des marchés.

Comment expliquer la hausse de prix des engrais azotés?

« Le marché des engrais devient fou… », entend-on dans les campagnes. Et c’est vrai : les entrepôts se vident, les prix augmentent, les livraisons sont retardées… Comment expliquer cette situation ? Va-t-elle se prolonger dans le temps ?