Covid-19 - La filière française de la pomme de terre met aussi en garde également contre une surproduction

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Voir l'offre d'abonnementLes organisations et coopératives agricoles de l’UE ont lancé récemment un appel d’urgence à la Commission européenne pour venir en aide au secteur apicole.
L’Inde est un pays à suivre pour la tendance du marché mondial du sucre dans les prochains mois.
En Wallonie, quelque 350 personnes exercent le métier de maraîcher, producteur de légumes pour le marché du frais, à titre principal ou complémentaire. Cette activité attire aujourd’hui de nombreux jeunes. Très exigeante, elle demande une parfaite organisation, une grande polyvalence, du soutien technique et économique… et des débouchés. Voici un rapide éclairage sur ce secteur et ses perspectives de développement en compagnie de Claire Olivier, du Centre interprofessionnel maraîcher.
Du 10 novembre au 1er février, les marchés ont dégagé 22 % de la production initiale, soit près de 900.000 tonnes. Avec 2,4 millions de tonnes, les stocks belges sont les plus élevés jamais enregistrés, à ce stade, hormis février 2018. Au contraire d’Innovator, Challenger ou Bintje, Fontane semble être clairement réservée pour la fin de saison.
L’élévation moyenne de la température impactera aussi les régions viticoles.
Transmis par des pucerons, le virus Y de la pomme de terre altère le rendement et la qualité des tubercules. Sa maîtrise requiert dès lors toute l’attention des producteurs de plants. Le Centre wallon de recherches agronomiques étudie cette problématique depuis de nombreuses années et propose des solutions aux multiplicateurs. Un éclairage a été apporté sur le sujet en décembre dernier par Jean-Louis Rolot, expert en la matière.
Au cours de la période 2019-2030, la production et la consommation européennes de fruits et légumes devraient se stabiliser alors que dans le même temps, les exportations devraient s’orienter à la hausse, indique la Commission européenne dans un rapport publié le 11 décembre.
Le vignoble belge est en plein essor. Les projets d’extension en Wallonie ne manquent pas. Il y a quelques années le vin wallon était au mieux une passion, parfois un fantasme, rarement un produit grandiose. Grâce au travail acharné d’une poignée de passionnés, il est devenu une réalité à part entière, un vin qui n’a rien à envier à ses voisins. Un éclairage, en compagnie d’Henri Larsille, secrétaire de l’Association des Vignerons de Wallonie.
La Cibe pointe une série de mauvaises nouvelles pour les planteurs.
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