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Voix de la terre

Voix de la terre

Après la COP 27… la COP 15?

Voix de la terre On avait de mieux en mieux suivi les COP climatiques jusqu’à la dernière, la 27º, et voilà qu’on revient en arrière avec une COP 15 ! Bizarre ! Cela ne fait pas double emploi. C’est complémentaire. Cette fois, Il s’agit de préserver la biodiversité.
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Oui mais il a le mérite d’exister!

Je souhaite réagir à l’article de Marc Assin du 17 novembre « Maxi-statut, mini-pension ». Marc Assin se trompe de cible en s’en prenant aux politiciens, aux syndicats et notamment l’Union des Agricultrices Wallonnes.

La coupe est pleine?

Rassurez-vous, je ne vais pas vous parler de la Coupe du Monde de Football qui vient de débuter, cette outrageuse « coupe de l’immonde, Qatar-strophique ». Malgré tout le mal qu’on en dit, à tort ou à raison, je souhaite sincèrement bien du plaisir aux amateurs de foot ! Quant à moi, un autre événement a retenu mon attention ces jours-ci : huit milliards d’êtres humains peuplent la Terre depuis ce 15 novembre 2022, selon les estimations de l’ONU !

Permettre à toutes les Charlotte de vivre du travail qu’elles ont fourni

C’est avec beaucoup d’intérêt que j’ai pu prendre connaissance du courrier de Marc Assin relatant l’histoire de Charlotte (à lire ici). Je comprends sa déception mais je souhaiterais souligner ici la nécessité de ne pas mélanger les débats et d’éviter de tirer des conclusions hâtives et erronées.

Maxi-statut, mini-pension

Chacun a voix au chapitre, pour râler et dénoncer ce qu’il considère comme des injustices. Certains se taisent toute leur vie et encaissent : leurs gémissements ne sont que murmures, et personne ne les écoute jamais. Parfois, sur le tard, ces voix ténues prennent soudain du volume et crient leur révolte. Des voix de la terre, par exemple…

Le choix des lecteurs

Des bougies à Sainte-Rita

Toussaint et Jour des Morts sont moins tristes qu’il n’y paraît, car célébrer les défunts donne aux vivants une belle occasion de se rencontrer et fraterniser, lors des offices religieux, sur le parvis de l’église ou dans les allées des cimetières. On se bise et on papote en famille ; on discute entre amis ; on taille une bavette au bord des tombes, sans manquer le moins du monde de respect pour nos chers disparus. De quoi parle-t-on ? De la pluie -qui a manqué en été- et du beau temps -un rien trop chaud pour la saison, mais qui fait pousser les herbes-. On s’intéresse à la santé de son interlocuteur ; on prend des nouvelles de la famille. On parle de tout et de rien ; on blague et on rit -jaune- d’une actualité qui a pris des allures d’Halloween au quotidien, avec un croque-mitaine russe et sa menace nucléaire, un coût des énergies terrifiant, la trouille de voir nos carrosses transformés en citrouilles…

Balayer devant sa porte

Permettez-moi de vous poser une question toute simple : quelle molécule industrielle de synthèse retrouve-t-on dans toutes les eaux de surface, partout dans le monde, de l’Arctique à l’Antarctique ? La plupart des personnes interrogées répondront à l’unisson : le glyphosate ! Les bien-pensants écologistes citeront aussi le DDT (insecticide organochloré), les organophosphorés, les carbamates, etc. TOUS pointeront du doigt des produits employés en agriculture, et ils auront TOUT faux ! Car cette fameuse molécule présente absolument partout dans les rivières de tous les continents, n’est autre que le « bête » paracétamol ! Ces lustucrus l’eussent-ils cru??

Voyage au pays des sapins de Noël

Pour moi, l’Ardenne, c’est surtout la Foire de Libramont, de vieux souvenirs de camps scouts en bordure de forêt et… les chroniques de Marc Assin dans le Sillon Belge.

Nos chères petites têtes blondes…

Réforme des congés scolaires oblige, les petites vacances de Toussaint s’étalent sur deux longues semaines à partir de cette année. Panique à bord dans pas mal de familles !

Le bon sens paysan a du plomb dans l’aile

On a tous pris conscience ces dernières années d’une méfiance grandissante de la population vis-à-vis du monde agricole. Et a fortiori, on constate que cette méfiance est alimentée en grande partie par une perte de bon sens, le « bon sens paysan » comme on se plaît à l’appeler.