Courrier des lecteurs : le Graal de la connaissance à… Bonne Espérance











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Chaque dimanche, sauf exception, ma mère, cuisinière émérite nous concoctait une poule au pot. Après cuisson, elle désossait la bête et servait les morceaux avec une béchamel à la crème de lait parfumée à l’ail.

Depuis plusieurs mois, ça parle beaucoup de cochon à la maison. Et pour cause : 2 € la tranche de jambon cuit au comptoir des boucheries. Mais depuis quand la viande de porc est-elle devenue aussi chère que ça ? On est évidemment tous au courant que le prix de la viande a augmenté mais tout de même, ça ne choque que moi ce prix ? Surtout que, nous en conviendrons tous, le cochon a quand même quelques galons en moins que le bœuf Wangyu.

Vivrons-nous bientôt dans une société « Enfants non admis » ? Trois faits surréalistes m’ont interpellé ces derniers temps, qui tendent à le prouver. Le premier a trait à la proposition outrancière du meneur de jeu d’un parti de droite : il suggère sans complexe de ne plus octroyer des allocations familiales au-delà du quatrième enfant.

Face aux dégats de corvidés, que dirait Jean de La Fontaine ?

Sans être « accro » des réseaux sociaux, je sais que les « influenceurs » sont dans l’air du temps. Mais ne l’ont-ils pas toujours été, en changeant de forme sans beaucoup modifier les motivations : l’intérêt financier, le pouvoir et, plus souvent qu’on ne l’imagine, la force des convictions. L’usage de la peur est souvent le ressort de l’argumentation.







Impossible d’y échapper
: on a bien cuit ces jours-ci.


Comment peut-on être à la fois fermé et ouvert ? Quand je lis par exemple « fermes ouvertes », je me dis que l’expression présente quelque allure d’oxymore, composé de deux termes contradictoires, sauf que « fermes » désignent ici des exploitations agricoles. Le langage courant emploie des noms usuels auxquels on ne réfléchit pas trop. Ils nous viennent en tête parce qu’ils ont toujours existé, nous semble-t-il, et l’on ne distingue guère les multiples facettes qu’ils suggèrent. Le jargon agricole est truffé de jeux de mots : amusons-nous !


Une maman, c’est important. Un papa l’est tout autant ! Il me semblait donc convenable de leur adresser également quelques lignes à l’occasion de la fête des papas.
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