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C’est dans son appartement bruxellois qu’Éric Boschman nous reçoit. Le sommelier belge le plus connu de notre paysage audiovisuel y travaille sa notoriété. Entre son wine man show « Ni dieu, ni maître mais du rouge », l’écriture de son nouveau livre « Cinquante nuances de gras » qui lie cuisine et histoires érotisantes, et la préparation de sa nouvelle émission radio « Les bons vivants » qu’il co-anime notamment avec Julien Lapraille, cet épicurien est sur tous les fronts. Il prend d’ailleurs son rôle d’ambassadeur de l’Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité (Apaq – w) très à cœur. « Quand on choisit d’avoir de la notoriété, il faut que celle-ci ait une utilité. Quoi de plus cohérent pour moi que de m’impliquer dans la promotion d’une agriculture de qualité en Wallonie. » Et si la vigne en fait partie…

Dès la mi-octobre, le lait entier « goût chocolat » Fairebel contiendra du cacao certifié Fairtrade. Tant les producteurs de lait belges que de cacao africains bénéficient ainsi d’une juste rémunération.

Pékin a annoncé vendredi que certains produits agricoles américains dont le porc et le soja seront exemptés de surtaxes douanières, un geste de bonne volonté supplémentaire au moment où Pékin et Washington doivent se retrouver en octobre pour des pourparlers commerciaux.

De la viande conventionnelle aurait été vendue en Belgique comme étant bio, nous relate l’agence Belga. La fraude provient des Pays-Bas et d’un transformateur de viande du Brabant peu scrupuleux, qui approvisionne le marché néerlandais mais aussi belge et allemand. L’information émane de deux rapports de l’organisme de surveillance néerlandais Skal Biocontrole et de l’Autorité néerlandaise de sécurité des produits alimentaires et de consommation, couvrant la période de consommation de 2015 à 2018.

En province de Luxembourg, six éleveurs de bovins viandeux bio ont lancé le pari un peu fou de commercialiser leur production directement dans les magasins préférés des consommateurs. D’ici la fin de l’été, leur viande sera distribuée sous la marque « Sainbiooz ».







Quelques éleveurs de Blanc Bleu Belge, tous ardennais, ont décidé de fonder une coopérative et de créer leur propre marque de viande bovine. Sous le nom « Cornu », avec deux cornes sur le « u », ils entendent proposer aux consommateurs un produit noble, local, éthique et transparent.

D’ici la fin de l’année, un logo, dont le design n’a pas encore été dévoilé, permettra aux consommateurs d’identifier facilement les restaurants qui mettent à leur carte de la viande bovine belge.

Fevia, la fédération de l’industrie alimentaire belge, a lancé samedi le site internet emballages2025.be, où sont résumés les 6 engagements du secteur en matière d’emballages à l’horizon 2025, annonce-t-elle dans un communiqué.

Signe que les habitudes des consommateurs changent petit à petit, chaque Belge a consacré 46 € aux produits frais bio en 2018, soit 6,50 € de plus qu’en 2017. C’est néanmoins sur les tables du sud du pays que l’on retrouve le plus ce type de produit, en témoigne l’incroyable hausse des dépenses des ménages wallons.

Au terme de l’année 2018, 514 producteurs bio étaient recensés en Flandre, soit une hausse de 10 % par rapport à 2017. Ensemble, ils cultivent 7.913 ha (+7 %), à savoir 1,3 % de la surface agricole utile flamande. À l’inverse, les dépenses allouées aux produits bio par les consommateurs du nord du pays – 289 millions d’euros – reculent de 2 %.
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