Friands de produits frais bio, les Wallons ont augmenté leurs dépenses de 40%

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Voir l'offre d'abonnementQue ce soit au sein des différents bassins qu’il abrite ou dans les entreprises qu’il accueille, le port d’Anvers grouille d’activités d’import-export. Il constitue de ce fait une porte d’entrée sur le territoire belge pour de nombreux produits, dont des denrées alimentaires provenant du Monde entier. Chaque année, l’Afsca les passe au crible, afin de s’assurer de leur conformité au regard de la législation européenne et ce, en vue d’assurer la sécurité des consommateurs.
L’indice des prix à la consommation du mois de décembre s’établit à 108,22 points, soit une baisse de 0,26 point par rapport au mois de novembre.
En matière d’alimentation, le panel de produits disponibles ne cesse de s’étoffer. Si les industriels de l’agro-industrie sont à l’écoute des consommateurs, ils ne manquent pas non plus d’imagination pour commercialiser des aliments « innovants », surfant ainsi
sur de nouvelles tendances.
L’indice des prix à la consommation du mois de novembre s’établit à 108,48 points, soit une hausse de 0,17 point par rapport au mois d’octobre.
Début août, l’Apaq-w a mené une étude de marché visant à mieux comprendre la manière dont les Wallons et les Bruxellois perçoivent le bio. Ses principaux enseignements viennent d’être dévoilés, en même temps que débute une nouvelle campagne de promotion.
L’indice des prix à la consommation du mois d’octobre s’établit à 108,31 points, soit une hausse de 0,73 point par rapport au mois de septembre.
L’indice des prix à la consommation du mois de septembre s’établit à 107,58 points, soit un statu quoi par rapport au mois d’août.
Si l’installation d’une unité de biométhanisation comporte des atouts indéniables, un projet d’une telle ampleur requiert plusieurs mois de réflexion. Cela ne doit toutefois pas freiner les porteurs de projets, car des aides et accompagnements existent.
Malgré le poids de l’investissement, un nombre croissant d’agriculteurs abandonne leur chaudière « classique » au profit d’une installation biomasse. Un choix qui leur permet de réduire leur dépendance au gaz ou mazout tout en valorisant des agrocombustibles produits sur l’exploitation. Et ce, sans compromis sur leur confort !
La consommation d’énergie peut très rapidement impacter le revenu des agriculteurs. L’envisager autrement ne peut donc que leur être bénéfique. Mais comment ? Éléments de réponse avec Cécile Heneffe, facilitateur bioénergie chez Valbiom.
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