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Salarié en élevage bovin: l’organisation des tâches quotidiennes

Bovins A travers une série de vidéos, le projet CowForme cherche à promouvoir le métier peu connu de salarié en élevage bovin. En élevage laitier, la flexibilité est importante puisqu’il faut s’adapter aux imprévus, tenir compte de la météo et faire face aux aléas de la nature. Mais les producteurs laitiers, qui font le choix de prendre un salarié, s'efforcent de planifier les tâches selon un horaire de travail déterminé. Dans cette deuxième vidéo, Pierre, Vincent et Marijn racontent comment s’organisent leurs journées de salarié dans une ferme laitière.
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Toujours plus de lait dans les bassins exportateurs

Alors que la production laitière européenne rebondit, elle poursuit sa tendance haussière dans les autres principaux bassins exportateurs. Aux Etats-Unis, elle bat des records tandis qu’elle affiche en Océanie des progressions importantes en fin de campagne.

Le marché des jeunes bovins est fluide, avec des prix en hausse

Avec moins de mâles à sortir cette année, le marché européen du jeune bovin (JB) est nettement plus fluide qu’il y a un an. Les prix se sont stabilisés à des niveaux historiquement élevés pour une saison estivale, et même record en Allemagne et en Pologne. Il n’y a qu’en Italie que les prix des mâles restent atones, alors que ceux des femelles caracolent toujours à un niveau record.

Un abattoir bientôt de retour à Beaumont?

Fermé depuis plusieurs années, l’abattoir de Beaumont reprendra-t-il bientôt du service ? Une étude de faisabilité, lancée avec le soutien des autorités locales, permettra de le savoir. Les éleveurs, eux, espèrent une réponse positive.

La Bleue Mixte, une race locale et durable mais toujours menacée

C’est chez Vincent Vandromme, éleveur à Boussu-lez-Walcourt (Froidchapelle), qu’Elevéo et la Commission raciale Bleue Mixte ont convié Willy Borsus à une découverte de cette race locale. L’occasion pour les agriculteurs présents de vanter les multiples atouts de leurs animaux mais aussi de faire part au ministre de leurs craintes quant à la nouvelle politique agricole commune qui, selon eux, menace la pérennité de la Bleue Mixte.

Existe-t-il un lien entre la dermatite des fentes du pis et la maladie de Mortellaro?

La dermatite de la fente du pis (DFP) ou dermatite mammaire ulcérative (DMU) est une affection cutanée des vaches âgées située au niveau de l’attache antérieure du pis ou entre les moitiés antérieure et postérieure du pis. Il est important de traiter les lésions au stade léger le plus tôt possible. Il existe des similitudes mais aussi des différences avec la maladie de Mortellaro.

Le choix des lecteurs

Un nouveau service génomique pour les femelles en race Blanc-Bleu Belge

Déjà utilisée depuis de nombreuses années en race Holstein, la génomique fait son apparition dans l’élevage Blanc-Bleu Belge. Après quelques années de mise au point et grâce à la collaboration de près de 50 fermes pilotes et des équipes de recherche de l’awé groupe et de l’Université de Liège, le service génomique est à présent disponible pour toutes les femelles en race Blanc-Bleu Belge.

Des données objectives pour déconstruire les clichés sur l’élevage bovin

Le secteur de l’élevage bovin partage les premiers résultats qui ressortent d’un observatoire de la durabilité pour la période 2019-20. Plus de la moitié des éleveurs belges (53 %) utilisent des sources d’eau alternatives, 44 % utilisent des produits dérivés de l’industrie alimentaire pour nourrir leurs animaux ; 67 % maintiennent les populations d’hirondelles, de chauves-souris et/ou de hiboux ; plus d’une exploitation bovine sur cinq (22 %) investit dans ses propres énergies renouvelables.

Dépenses en hausse et recettes minimales –voire inexistantes! – pour les éleveurs laitiers

En 2019, les frais inhérents à la production de lait, y compris une rémunération adéquate des éleveurs, étaient supérieurs au prix payé aux producteurs dans les huit principaux pays européens producteurs de lait. « Et ce, sans même qu’il soit tenu compte des investissements nets moyens », commente l’EMB, commanditaire de l’étude. Les coûts oscillent entre 34,21 ct/kg en Irlande et 58,63 ct/kg en Lituanie, pour une moyenne dans l’UE atteignant 45,35 ct/kg. Ces chiffres attestent d’une part non-couverte des coûts entre 9 % (Irlande) et 51 % (Lituanie) ; l’écart moyen dans l’UE étant de 24 %.