Elever un grand troupeau? C’est une gestion et la mise en place de nombreux protocoles à respecter
L’exploitation laitière Vital Laschet, située à Hombourg, c’est près de 400 laitières, près de 3,6millions de litres de lait produits par an, 5 salariés, des saisonniers… « C’est une gestion et la mise en place de protocoles à respecter pour le bien-être et la santé des animaux. Mais la gestion d’un grand troupeau ne va pas de soi », avoue Arnaud Beckers, gérant de l’exploitation. Rencontre
La vaccination contre les mammites a permis une belle amélioration de la santé mammaire, toutefois son utilisation ne doit pas faire négliger les bases de l’élevage. - P-Y L.«Le peu de problèmes que j’ai chez les veaux, si je l’avais dans les vaches, je serais un homme heureux! Car on a applique un protocole efficace qui convient à notre exploitation», explique Arnaud Beckers. - P-Y L.Bien que de nombreux protocoles aient été mis en place dans l’exploitation, Arnaud Beckers aimerait avoir à l’avenir un meilleur suivi de troupeau grâce à des données supplémentaires. - P-Y L.«Le peu de problèmes que j’ai chez les veaux, si je l’avais dans les vaches, je serais un homme heureux! Car on a applique un protocole efficace qui convient à notre exploitation», explique Arnaud Beckers. - P-Y L.Si le bien-être animal est au coeur des préoccupations, celui de l’éleveur et du personnel, doit l’être également. La structure doit être pensée de manière à pouvoir soulager toutes les personnes qui y travaillent. - P-Y L.
«
Je suis arrivé ici, il y a treize ans, quand l’exploitation comptait encore 180 laitières. Une nouvelle stabulation venait également d’être construite. » Ce n’est que deux ans plus tard, que le propriétaire de l’exploitation, Vital Laschet, malheureusement décédé en ce début d’année, se lance dans un groupement de producteurs laitiers (GPL). Entre arrivées de nouveau éleveurs et remises d’...
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BovinsImpossible de passer à côté de cette information : les éleveurs français, et plus précisément ceux situés en Savoie et Haute-Savoie ont dû faire face à la dermatose nodulaire contagieuse. Et ce ne sont pas les seuls à être concernés sur le Vieux continent puisque la Sardaigne a, elle aussi, été touchée. Dès lors, comment mieux appréhender cette maladie ? Hélène Gérard, vétérinaire au SPF santé publique, sécurité de la chaîne alimentaire et environnement, service de politique de santé animale et Jean-Yves Houtain, directeur épidémiologie et encadrement sanitaire à l’Arsia ont répondu à nos questions.