Moussours et son schéma de sélection poussé

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Voir l'offre d'abonnementPour permettre d’estimer avec plus de précision les stocks d’herbe disponibles et ainsi mieux prévoir le pâturage du cheptel, un outil fait parler de lui dans plusieurs pays : l’herbomètre à plateau. Cependant, les équations de calibration couplées à cet outil sont réalisées dans des situations pédoclimatiques parfois bien distantes de la Wallonie. Développer une équation adaptée à nos conditions était donc nécessaire. C’est désormais chose faite !
Du 27 au 29 avril s’est tenu à Namur le Dair’Innov Congress : un congrès international accueillant une centaine de scientifiques de haut vol venus des quatre coins du monde.
C’est une histoire bien belge, une première dans notre assiette qui devrait susciter l’engouement ! « Pré de chez nous » – un label destiné à une viande bovine, locale, qui allie qualité, bien-être animal et durabilité – est une collaboration entre trois acteurs clés : Bernard Gotta, maître chevilleur, Sobemax, sélectionneur d’animaux, et Dumoulin, producteur d’aliments. Si la réflexion du projet a pris quelques années, une fois lancé, le label semble déjà faire l’unanimité auprès des bouchers.
Le Comité du Lait a publié, voici quelques jours, le rapport de ses activités conduites en 2021. Parmi les nombreuses informations qu’il recèle, on y lit que les éleveurs laitiers ont fait un travail remarquable, comme de coutume. En effet, bien que certains indicateurs accusent un léger recul, le lait wallon demeure d’une excellente qualité, à l’image de ce qui a pu être observé les années précédentes.
Les entreprises familiales laitières belge Olympia et néerlandaise Royal A-ware ont annoncé, ce 19 avril, avoir conclu un accord permettant la reprise de la première par la seconde.
Dans le cadre d’un webinaire sur la thématique des antibiotiques organisé par l’Amcra et l’Afsca, Léonard Théron portait sa casquette de vétérinaire pour le compte de l’Union professionnelle vétérinaire. Son objectif du jour : présenter la complexité du tarissement sélectif. « Comme toute stratégie en ferme, cela se réfléchit, se prépare… avant de se lancer avec des filets de sécurité. »
Les engrais de ferme contiennent tous les éléments fertilisants dont a besoin le maïs : azote, phosphore, potasse, mais aussi du soufre et des bases calciques. Bien utilisés, ils permettent de réduire la facture d’engrais, voire même, dans certains cas, de s’en passer. Si les conditions de portance des sols sont favorables, il est grand temps de réaliser l’épandage des fumiers. Les lisiers, fumiers de volailles et digestats de méthanisation peuvent quant à eux attendre, au plus près du semis et devront impérativement être enfouis sitôt l’épandage.
Le cahier des charges CodiplanPlus Bovin, partie intégrante du Standard Belbeef, a été actualisé et sa nouvelle version 4.0 est maintenant disponible. Sa dernière mise à jour datait de décembre 2019.
La présence de mycotoxines dans la ration des bovins, à base de maïs fourrage, est souvent suspectée d’être responsable de troubles divers : chute de production, problèmes de fertilité… Toutefois, l’identification des causes réelles est complexe car la diversité des composés toxiques possibles, en lien avec la ration, est importante et les références scientifiques sont parfois insuffisantes. La première recommandation est de se rapprocher de son vétérinaire pour déterminer précisément le problème et envisager toutes les origines possibles.
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