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Voir l'offre d'abonnementLe confinement aura eu du bon pour les éleveurs viandeux. Non seulement parce que le prix payé au producteur aura pu lui amener une petite bouffée d’oxygène, mais également parce que c’est durant cette période qu’est née Coevia, une asbl initiée par 8 jeunes issus de Wallonie picarde qui vise notamment à amener de la transparence dans les marchés de la viande bovine belge, pour ainsi permettre aux producteurs de dégager un meilleur revenu. Rencontre avec Charles Schotte, et les deux Aurélien (Holvoet et Durant), trois membres de la structure.
En temps normal, à pareille époque, les éleveurs limousins seraient en train de préparer leurs bêtes pour leur National de Libramont. Faute de Foire, le Limousin Belge et ledit Herd-book se sont mobilisés pour organiser un concours photo à destination du grand public ainsi qu’une présentation d’animaux en ligne. Une manière pour les éleveurs de faire valoir leur savoir-faire.
Chaque année, à cette période l’exploitation Van Bellegem, à Spy, est en ébullition. Outre le travail sur la ferme, la sélection et la préparation des animaux tant pour l’expo que pour le National Blanc bleu de la Foire de Libramont fait exploser le taux d’adrénaline de Daniel et de ses deux fils, Damien et Charles. Avec le report de la Foire cette année, les bêtes sont à l’herbe, tranquilles… une période plutôt calme pour ces éleveurs.
Cow forme, un nouveau projet Interreg franco-belge, a pour objectif la création d’emploi et l’amélioration de la qualité de vie dans les élevages laitiers.
« Appréciez la qualité et le goût de l’Europe grâce au bœuf belge », c’est le nouveau message de la campagne de communication en faveur de la viande de bœuf européenne menée par l’Apaq-W en Belgique. Cette campagne d’une durée de 3 ans (2020-2022) a pour objectif de promouvoir la juste place de la viande de bœuf dans une alimentation variée et équilibrée.
La crise de la Covid-19, en freinant les débouchés historiques comme la vente en frites dans les fast-foods, et une surproduction sur la campagne 2020/2021 ont engendré un surplus de pomme de terre. Parmi les voies de valorisation, l’alimentation des animaux d’élevage, notamment les bovins, permettrait de bien valoriser ces volumes disponibles. Cette brève fait le point sur les valeurs nutritives et les recommandation s d’utilisation de la pomme de terre entière.
À la tête d’un troupeau limousin bio depuis 1997, Jean-Yves Jamoye a fait évoluer sa manière de travailler voici 5 ans, en se tournant vers la vente en circuit court. Si ce changement de cap a nécessité d’investir dans un atelier de découpe, il lui permet aujourd’hui d’assurer la rentabilité de la ferme et d’entrevoir l’avenir avec davantage de sérénité. En effet, l’outil accueillera bientôt un de ses fils, qui souhaite intégrer l’exploitation familiale au terme de sa formation de boucher.
Delhaize annonce vouloir changer son modèle d’approvisionnement en bœuf en collaborant plus étroitement avec les éleveurs bovins belges. La marque s’engage à signer des conventions avec eux et à leur accorder une prime supplémentaire afin d’influencer positivement les prix du marché. L’objectif est d’atteindre 100 % de l’assortiment exclusivement fourni en direct par des éleveurs belges.
En raison de la crise du coronavirus, la famille Swagers, qui s’était portée candidate pour la reprise de l’Abattoir de Bastogne, a annoncé qu’elle se retirait du projet.
Est-ce un agriculteur ou un boucher qui est à la tête de la ferme « Hof ter Berchemveld » ? Geert Leyssens préfère ne pas répondre. Ou mieux : il ne peut pas et ne veut pas choisir, car il combine les deux fonctions avec la même passion. Et le consommateur apprécie autant cette double casquette que la qualité de la viande écoulée. La boucherie de la ferme connaît d’ailleurs une fréquentation record depuis le début de la crise sanitaire du Covid-19.
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