Quinzaine du bœuf en Wallonie: les bouchers et restaurateurs invités à participer

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Voir l'offre d'abonnementAux Pays-Bas, des producteurs laitiers ont trouvé une faille dans la nouvelle réglementation sur les phosphates. Les veaux de génisses sont signalés comme jumeaux d’une autre vache laitière. De cette façon, la génisse n’est pas enregistrée comme vache laitière. Plus de 10 % de jumeaux seraient ainsi nés dans 2.000 des 17.500 fermes laitières néerlandaises, contre 3 et 5 %, normalement.
Si la Wallonie est connue pour ses verts pâturages et ses exploitations laitières familiales, les sept entrepôts de poudre de lait dispersés sur son territoire sont, eux, nettement plus secrets. C’est pourtant dans l’un d’entre eux que les responsables de l’EMB ont fait part de leurs inquiétudes à une poignée de députés européens. « Ces stocks sont une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes », ont-ils clamé devant un véritable mur de poudre de lait.
Opter pour le croisement des veaux destinés à l’engraissement est une pratique courante pour maximiser son revenu en élevage laitier. Si pour ce faire, le Blanc-bleu est souvent utilisé, d’autres alternatives existent. Cap sur la station expérimentale de Mauron, en Bretagne, afin de voir quelles alternatives elle étudie pour le marché français.
Le marché-concours de la province de Liège a ouvert le bal des concours-foire à Hannut le samedi 6 janvier. Les 200 animaux inscrits ont été jugés par Philippe Bechet, Anne Pirson, Alexandre De Coene, Cédric Lefèvre, Alice Collignon et Frank Mailleux.
Pour la première fois depuis le calcul des coûts de la production laitière en Allemagne, les coûts incombant aux producteurs laitiers étaient presque couverts au quatrième trimestre 2017.
Avec la volatilité que connaissent les prix des matières premières et des produits animaux, nombreux sont les éleveurs à vouloir rendre leur ferme plus résiliente, plus autonome vis-à-vis des intrants, mettant davantage en avant la qualité et reconnectée aux consommateurs locaux. Une stratégie qui nécessite le développement de filières de qualité différenciée et la mise en avant des services rendus par l’élevage pour la société.
Depuis plusieurs années, les organisations agricoles et les abattoirs débattent de la nécessité d’une plus grande transparence lors de l’abattage et du pesage en abattoir. Ces derniers mois, la concertation bilatérale entre l’Agrofront (Fwa, ABS et Boerenbond) et la Fédération belge de la viande (Febev) s’est intensifiée pour finalement parvenir à un consensus. Un accord a donc été officiellement signé par les présidents des organisations le 11 janvier dernier.
Nervosité et amaigrissement des animaux, chute de la production laitière, augmentation des cas de mammites et du taux cellulaire dans le lait… Tant d’anomalies qui peuvent faire chuter la production laitière et impliquer bien des désagréments à l’éleveur. Si les causes peuvent être multiples et difficiles à déterminer, la piste des courants vagabonds est à explorer.
N’ayant émergé que récemment, la génomique est un domaine prometteur pour la sélection animale. L’Awé (Association wallonne de l’élevage) a donc profité de ses Holstein Days pour en présenter plus précisément les tenants et aboutissants aux éleveurs. L’occasion également de leur proposer une nouvelle offre d’analyses génomiques.
Nous vous en parlions il y a peu, la prochaine confrontation européenne Holstein et Red Holstein aura lieu à Libramont les 12 et 13 avril 2019. En parallèle, des visites de fermes wallonnes seront organisées le 11 avril 2019. Un appel à candidatures est d’ores et déjà lancé par l’Awé auprès de tout éleveur intéressé.
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