«Une plus grande transparence est souhaitable», estime Carlo Di Antonio à propos de l’abattoir d’Izegem

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Voir l'offre d'abonnementIl était attendu ! Le 29e Concours Spécial Blanc Bleu Belge de la Foire de Libramont s’est tenu le 29 juillet dans une bonne ambiance malgré le stress du national. Devant un public venu en masse, quelque 215 sujets ont été jugés par MM. Bernard, Scohiez, Wautelet et Ledoux. MM. Baudoin et Gillis officièrent en tant que membres suppléants.
Comme à l’accoutumée, le National Limousin s’est tenu dans le cadre de la Foire. Une 25e édition qui a vu nombre d’éleveurs récompensés et qui fut accompagnée d’un concours de vaches grasses sur le stand du Herd-Book.
Pour son 30e concours, le Herd-Book Montbéliard a connu un joli succès de participation. Quelque 80 animaux de qualité ont ainsi été présentés sous les yeux du juge Fabrice Cuenot, un éleveur français.
Inaugurant le village de l’agriculture wallonne à l’ouverture de la foire de Libramont, le 28 juillet dernier, René Collin, dont les compétences ministérielles ont été réaffirmées dans la nouvelle majorité régionale wallonne, a exprimé sa volonté de poursuivre et même de renforcer son action dans le sens « d’une agriculture plus forte ».
Le ministre wallon de l’Agriculture René Collin a signé, le jeudi 27 juillet, l’Arrêté ministériel officialisant la demande d’enregistrement par l’Union européenne de la dénomination « Viande de Blanc Bleu Belge » en qualité d’Indication Géographique Protégée (IGP).
Depuis plusieurs années, la filière bio wallonne tient une forme olympique et 2016 ne déroge pas à la règle. Une fois encore, le nombre d’exploitations et la SAU sous contrôle bio connaissent une croissance importante. La tendance est similaire du côté des animaux ; même le secteur porcin semble se redynamiser. Seule ombre au tableau, le nombre trop élevé de vaches allaitantes ne permettant pas de valoriser tout le cheptel dans la filière.
En agriculture, lutter contre la volatilité des prix reste un défi majeur. Pour y parvenir, Daniel Coulonval, agriculteur à Viroinval voit deux possibilités: la vente directe et la valorisation des effluents d’élevage et des déchets d’origine agricole. Il nous présente ses installations, dont une unité de biométhanisation.
Gérer une exploitation laitière n’est pas chose aisée. Entre la traite, les soins aux veaux, le nourrissage du cheptel et la gestion du pâturage, l’éleveur ne sait parfois plus où donner de la tête. Dans ce contexte, organiser au mieux son site d’exploitation, en tenant compte du bâti existant et des constructions futures, générerait un gain de temps et d’efficacité d’autant plus important que le troupeau est grand.
Réduire la pénibilité du travail en élevage peut passer par bien diverses formes: raisonner les investissements, la taille du cheptel, déléguer les travaux agricoles, privilégier le pâturages... Vincent Schyns, un éleveur de Bilstain, est de ceux qui ont pris le parti d’adapter leur exploitation à la main d’œuvre et aux terrains disponibles. Retour sur quelques réflexions qui lui ont permis de gagner en autonomie et en qualité de travail.
À l’occasion de la quatrième conférence européenne du lait équitable, organisée cette année en Allemagne, la « Faironika en or » a été remise à divers lauréats, dont des agriculteurs et mandataires politiques.
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