Un mot sur les marchés aux bestiaux
Benoît Cassart se dit inquiet de la désertion de nombre d’éleveurs aux marchés aux bestiaux. « Certains pensent que les marchés aux bestiaux sont inutiles car les bêtes sont chères et qu’il est facile de passer à côté pour négocier ses bovins. Or, en réalité, c’est là que l’on confronte l’offre et la demande pour in fine déterminer un prix qui sert à toux ceux qui font du commerce en parallèle. Il y a un rôle fondamental de ce point de vue mais aussi au niveau logistique. Quand on voit que la majorité des vaches noires sont abattues en Flandre, le marché reste un moyen écologique de...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique