La collecte laitière reste stable, malgré un recul en France











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Le dernier rapport sur la durabilité de MilkBE montre l’importance de la durabilité pour le secteur laitier. Ainsi, en 2022, une hausse notable des mesures réductrices d’énergie a été observée auprès de ces agriculteurs.

La vache laitière utilise ses réserves corporelles pour assurer ses fonctions vitales et sa production de lait. Cependant, si son alimentation n’est pas suffisante pour couvrir tous ses besoins, l’animal peut se retrouver en déficit énergétique. Une situation avec de nombreux impacts sur la santé du bovin, sa reproduction et son rendement laitier.

Six firmes concouraient, cette année, pour recevoir le sabot d’or décerné lors d’Agribex. Finalement, ce sont deux dossiers qui ont été retenus pour le sabot d’argent. Le jury est, en effet, arrivé à la conclusion qu’aucun candidat n’était éligible pour l’or.

Avec l’arrivée des températures plus fraîches et la préparation des fêtes de fin d’année, les cours des jeunes bovins repartent à la hausse chez nos voisins européens. Concernant les vaches de réforme, on enregistre une baisse des cotations saisonnière.

C’est une véritable reconnaissance pour les éleveurs de la Rouge des prés. Depuis ce mois de novembre, cette race de bovins allaitants possède son propre Herd-Book pour le Benelux. Quinze éleveurs sont d’ailleurs déjà inscrits à cet outil généalogique qui permettra de certifier la filiation des animaux, de perpétuer le gène culard, mais aussi de promouvoir ces vaches rustiques originaires de l’Hexagone.







Depuis le début de l’année, la collecte laitière de l’Union européenne montre une faible croissance par rapport à 2022 avec plus de 0,5 % sur trois trimestres. Sur le 1er semestre, la collecte était tirée à la hausse par des productions du nord, comme en Allemagne et aux Pays-Bas. Toutefois, les prix du lait ont baissé au cours de cette même période dans les pays producteurs, à l’exception de la France.

Il y a comme une touche de Japon dans les campagnes gaumaises… En effet, grâce à Anne Calay, ce sont désormais une quarantaine de Wagyus qui pâture paisiblement dans le village de Rossignol, près de Neufchâteau. Des bovins d’exception dont la viande haut de gamme est prisée tant par les consommateurs que par les plus grands restaurants.

HappyMoo est une étude dont l’objectif est d’évaluer le bien-être des vaches laitières. Financé par l’Europe, cofinancé par la Région wallonne, et mené, notamment, par le Cra-w, Elevéo et l’Ulg, ce projet a développé plusieurs outils afin de surveiller l’absence de faim, de maladie et de stress chez ces bovins. Parmi eux, une fiche technique consacrée à la problématique sanitaire numéro 1 en élevage laitier : les mammites.

Mieux vaut prévenir que guérir… Et quand il est question de boiterie, ce proverbe tombe à pic. Car oui, plusieurs mesures de prévention existent pour limiter le nombre de vaches souffrantes.

Synonyme de souffrances animales, mais aussi de pertes économiques, les boiteries sont un fléau redouté par la majorité des éleveurs. HappyMoo, une étude axée sur le bien-être des vaches laitières, s’est penchée sur cette problématique.
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