Christophe Vermeulen sera le nouveau CEO de Belgapom

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Je m'abonneLa limite maximale en résidus temporaire du CIPC dans les pommes de terre et leurs produits est enfin connue : 0,40 mg/kg, dès l’été prochain.
Alors que les arrachages ont commencé, il est opportun de de faire le point sur l’évolution de la jurisprudence et de la doctrine en matière de contrat d’achat des pommes de terre.
Les pluies ont imposé l’arrêt des récoltes, que la Fiwap estimait, en début de semaine, de l’ordre de 5 à 10 % des surfaces pour la conservation.
Après les gros excédents de pommes de terre liés à la pandémie, l’Unpt invite les producteurs à réduire leurs plantations de 15 % en 2021.
Le retour de la pluie impose certaines mesures de précaution, localement, en vue des arrachages et du stockage des tubercules.
Dans le cadre de la disparition du CIPC et en vue de l’acceptation d’une LMR temporaire par la Commission européenne, Belgapom a accepté de participer au plan d’échantillonnage des hangars de pommes de terre prévu durant la prochaine période de stockage.
Le Groupe des producteurs de pommes de terre du Nord-ouest européen estime que les rendements en consommation sont au niveau de la moyenne des 5 dernières années. Comme la superficie a augmenté de 1,4 % par rapport à l’année dernière, la récolte totale peut être estimée à 27,9 millions de tonnes contre 26,9 millions en 2019 pour les 5 grands pays concernés. C’est 3,8 % de plus que l’an dernier, mais moins qu’en 2017 avec ses 29,6 millions de tonnes produites.
Que les rendements soient au rendez-vous ou non, le défanage reste la dernière intervention chimique aux champs à ne pas négliger, rappelle la Fiwap dans son avis du 1er septembre.
Dans son avis de la fin août, la Fiwap rapporte les résultats des premiers prélèvements de tubercules réalisés en variétés Bintje et Innovator. Pas de quoi pavoiser en termes de rendement.