La ferme de la famille Van Puymbrouck: «Seuls des tubercules de qualité permettent d’accroître la rentabilité»

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Je m'abonneEn concertation avec les représentants du secteur « pommes de terre », dans la situation phytosanitaire actuelle le Fonds des Végétaux n’indemnisera plus les pommes de terre contaminées par les nématodes Meloïdogyne chitwoodi et Meloïdogyne fallax.
L’absence ou le déficit de précipitations se manifestent de manière de plus en plus nette dans les champs.
Constatant une hausse des surfaces de 1 % dans l’ensemble des 5 pays concernés, le Groupe des producteurs de pommes de terre du nord-ouest européen – Nepg – attire l’attention sur l’influence prépondérante que pourrait avoir la sécheresse sur la récolte 2018. Un retour rapide des pluies pourrait toutefois tempérer cet impact.
Le manque d’eau n’est pas sans impact sur les cultures et requiert une surveillance accrue des parcelles.
Dans son avis du 19 juin, la Filière wallonne de la pomme de terre s’attarde sur le sort des variétés Première et Fontane. Jusqu’à quelle date l’industrie travaillera-t-elle des Fontane ? Quand commencera-t-elle à traiter les Premières ?
Dans son avis du 12 juin, la Fiwap constate en ce début de saison un paysage patatier contrasté à plusieurs niveaux.
L’estimation provisoire des surfaces en pomme de terre révèle une situation contrastée entre le sud et le nord du pays.
Le NEPG (Groupe des producteurs de pomme de terre du Nord-Ouest européen) estime que les 5 principaux pays producteurs planteront 0,4 % de surface de pomme de terre en plus que l’an passé.
Le traitement herbicide de préémergence est la deuxième étape clé de la culture. Il convient de l’entreprendre rapidement après la plantation – au moins une semaine avant l’émergence – lorsque les conditions sont réunies. Voici les recommandations du Carah (Ath) pour ériger le barrage le plus efficace contre la concurrence des adventices.