Face à la hausse des coûts de production, et bien que les prix du sucre soient bons et permettent d’absorber en partie cela, il est possible d’intervenir durant l’itinéraire cultural. « Nous devons garder un œil sur les coûts des intrants, que sont les engrais et les produits phyto », confirme André Wauters. « Les essais nous ont déjà montré que, dans de nombreuses situations, la betterave peut se contenter d’une quantité inférieure d’engrais sans que son rendement ne soit impacté négativement. Il existe aussi des techniques de fertilisation dans le rang, qui se montrent très efficaces. Malheureusement, nous ne pouvons pas encore les implémenter à grande échelle. »
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