Des étudiants de l’Université d’état de l’Oklahoma (USA) pensent que la génomique permettra aux plantes de perdre moins d’eau par évapotranspiration d’ici 10 ans.
Selon ces étudiants, les cultures destinées à la consommation humaine pourraient nécessiter moins d’eau, et peut-être moins de terre, à l’avenir. Une plus grande disponibilité d’internet et la création de nouvelles applications pour gérer de gros volumes de données (big data) permettraient à un plus grand nombre de producteurs d’intégrer ces données dans la prise de décision, directement sur la parcelle.
Les points clés de leur vision sont :
– la disponibilité à grande échelle de systèmes d’irrigation améliorés ;
– des cultivars ayant un comportement plus efficace vis-à-vis de l’eau
– des outils de valorisation de gros volumes de données, via des applications pouvant être utilisées directement sur le terrain.