n’est à négliger !
On pourrait se dire « À quoi bon s’intéresser encore aux diarrhées néonatales du porcelet » ? Tout simplement parce que des cas surviennent encore fréquemment de nos jours en maternité et que leur impact économique est lourd, que ce soit en termes de pertes associées aux mortalités, à la baisse du poids moyen des porcelets sevrés mais aussi aux retards de croissance qui marqueront les survivants par la suite, entre le sevrage et la vente. Sans compter le coût des traitements.
À cela, vient s’ajouter le stress vécu par...
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