« L’idée n’est pas d’initier la production sur cette surface, mais de l’atteindre progressivement, en commençant prudemment l’activité sur une aire plus restreinte à titre complémentaire, afin d’apprendre à s’organiser, pour ensuite s’agrandir petit à petit », précise Claire Olivier. Certains éléments peuvent influencer cette surface seuil. C’est le cas, par exemple, si le maraîcher a une activité de vente et revente, s’il produit ses légumes à titre complémentaire ou encore s’il se différencie d’une manière ou d’une autre.