La Commission européenne veut en effet éviter que les stocks déjà très élevés de poudre (environ 400.00 t accumulées en 2015 et 2016) ne grossissent encore. Tout en reconnaissant que l’intervention publique a eu un impact indéniable sur la stabilisation du marché, le commissaire européen souligne également que ces stocks pèsent sur le marché.
« Nous devons donc éviter l’an prochain de nouveaux achats dans le cadre de l’intervention publique, sans justification de marché appropriée. Une option serait de commencer la prochaine campagne par un appel d’offres. Cela signifie que nous déciderons ensemble quels volumes doivent être acceptés et à quel prix ».
Mais les États membres, à qui cette décision revient, ne semblent pas très enthousiastes.
