Accueil Elevage

Elevage

Elevage

Le marché des jeunes bovins est fluide, avec des prix en hausse

Animaux Avec moins de mâles à sortir cette année, le marché européen du jeune bovin (JB) est nettement plus fluide qu’il y a un an. Les prix se sont stabilisés à des niveaux historiquement élevés pour une saison estivale, et même record en Allemagne et en Pologne. Il n’y a qu’en Italie que les prix des mâles restent atones, alors que ceux des femelles caracolent toujours à un niveau record.
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

Abonnez-vous

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles

Voir l'offre d'abonnement

Abattage à la ferme: recensement des besoins des éleveurs wallons

Deux ministres wallons, Céline Tellier, en charge du bien-être animal, et Willy Borsus, en charge de l’agriculture, ont débloqué un budget de 100.000 euros pour la réalisation d’une étude de six mois portant sur la faisabilité de développement de l’abattage à la ferme. La Faculté de Médecine vétérinaire de l’Université de Liège a démarré ces recherches début mai.

La France mettra fin au broyage des poussins courant 2022

Le gouvernement français promet «la fin du broyage des poussins» mâles pour 2022, un projet de décret attendu «à la fin de l’été» devant imposer aux couvoirs de poules d’avoir «installé ou commandé» au 1er janvier prochain un appareil permettant de détecter le sexe des poussins dans l’oeuf.

Un nouveau service génomique pour les femelles en race Blanc-Bleu Belge

Déjà utilisée depuis de nombreuses années en race Holstein, la génomique fait son apparition dans l’élevage Blanc-Bleu Belge. Après quelques années de mise au point et grâce à la collaboration de près de 50 fermes pilotes et des équipes de recherche de l’awé groupe et de l’Université de Liège, le service génomique est à présent disponible pour toutes les femelles en race Blanc-Bleu Belge.

Le choix des lecteurs

Des données objectives pour déconstruire les clichés sur l’élevage bovin

Le secteur de l’élevage bovin partage les premiers résultats qui ressortent d’un observatoire de la durabilité pour la période 2019-20. Plus de la moitié des éleveurs belges (53 %) utilisent des sources d’eau alternatives, 44 % utilisent des produits dérivés de l’industrie alimentaire pour nourrir leurs animaux ; 67 % maintiennent les populations d’hirondelles, de chauves-souris et/ou de hiboux ; plus d’une exploitation bovine sur cinq (22 %) investit dans ses propres énergies renouvelables.

Plaidoyer pour l’utilisation du Cheval de trait

Un soir, au journal télévisé, le responsable de « Carriage Tour » à Bruxelles, expliquait ses difficultés de concilier son activité de visites touristiques en calèches avec une opposition politico-philosophique antispéciste du parti « Dieranimal ». Plus récemment, ce parti politique a contesté le ramassage scolaire par hippobus dans une commune bruxelloise.

Lutte contre l’antibiorésistance en médecine vétérinaire: tenir bon la barre malgré un bilan mitigé

Dans le cadre de la lutte contre l’antibiorésistance, l’Amcra a annoncé le 22 juin les résultats de la convention antibiotiques 2016-2020. Celle-ci est marquée par la réalisation et le dépassement de l’objectif de réduction concernant les aliments médicamenteux. Malgré une forte réduction entre 2011 et 2020 obtenue pour les deux autres objectifs, ceux-ci n’ont pas été atteints. Explications.

Selon la BFA, les résultats sont bons malgré un contexte très difficile

Malgré une situation très difficile sur le marché, le secteur belge de l’alimentation animale est tout de même parvenu à enregistrer de bons résultats en 2020. Après avoir diminué en 2018 et 2019, la production belge d’aliments pour animaux a augmenté de + 5,7 % en 2020. En dépit d’un contexte compliqué, le secteur continue à mettre l’accent sur sa responsabilité sociale. Des sujets comme la durabilité, le climat, la réduction des émissions… figurent en bonne place sur l’ordre du jour.

Dépenses en hausse et recettes minimales –voire inexistantes! – pour les éleveurs laitiers

En 2019, les frais inhérents à la production de lait, y compris une rémunération adéquate des éleveurs, étaient supérieurs au prix payé aux producteurs dans les huit principaux pays européens producteurs de lait. « Et ce, sans même qu’il soit tenu compte des investissements nets moyens », commente l’EMB, commanditaire de l’étude. Les coûts oscillent entre 34,21 ct/kg en Irlande et 58,63 ct/kg en Lituanie, pour une moyenne dans l’UE atteignant 45,35 ct/kg. Ces chiffres attestent d’une part non-couverte des coûts entre 9 % (Irlande) et 51 % (Lituanie) ; l’écart moyen dans l’UE étant de 24 %.