Interpom 2020 aura bien lieu mais pas le dimanche

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementDepuis toujours sensibilisée par les pertes agricoles et le gaspillage alimentaire, l’Union des Agricultrices Wallonnes avait fait de cette problématique non seulement son fil rouge mais aussi l’objet de son congrès en 2015. De ses réflexions, il est ressorti qu’au-delà de leur fonction nourricière, ce sont les agriculteurs et agricultrices qui peuvent être à la fois des acteurs et le moteur de la lutte contre ce problème tout à la fois éthique, économique, social et environnemental. Le don de produits aux associations caritatives ainsi qu’aux banques alimentaires peut faire partie de la solution et s’organiser au départ de nos exploitations agricoles.
Quelque 40 % de la récolte initiale étaient encore en stock au 1er avril, soit 1,71 million de tonnes (Mt), dont 540.000 tonnes libres. Domination absolue de Fontane, Bintje se dégage.
Les plantations se sont poursuivies ces derniers jours, parfois jour et nuit. Néanmoins, certains producteurs pour le marché du frais et/ou en bio, attendent encore.
Sur la base des volumes disponibles au 1er avril – 1,71 million de tonnes, dont 1,17 million sous contrat, et 540.000 t libres – Belpotato.be chiffre le dommage maximal de la crise à 750.000 t de pommes de terre, pour une valeur de 125 millions d’euros.
Les chantiers ne chôment pas sous des conditions encore (ou à nouveau) très sèches.
Dans son dernier avis, la Fiwap met l’accent sur la mobilisation forte de toute la filière, alors que les plantations progrssent et que des informations relatives au nettoyage des hangars et matériels «contaminés» par le CIPC sont disponibles.
Des plants plus fins ou plus épais dans un même calibre. À bien contrôler pour ajuster la densité !
L’Union nationale des producteurs de pommes de terre en France invite à la modération des surfaces, face à un secteur de la transformation très impacté par la crise du Covid-19.
L’organisation professionnelle belge de la pomme de terre attire l’attention sur le fait que la crise actuelle du coronavirus pèse très lourdement sur le secteur en raison de la volatilité et de la disparition de nombreux marchés de vente.
Les appels aux réductions des surfaces se multiplient dans les pays producteurs du nord-ouest européen.
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