« La future pac doit retrouver son caractère communautaire, en limitant la subsidiarité offerte aux États membres, et plus particulièrement au sein du 1er pilier, indique-t-elle dans un communiqué.
Il s’agit aussi d’adapter les outils à disposition des producteurs pour faire face à l’instabilité des marchés et du climat, améliorer leur compétitivité. Cela passe par un filet de sécurité, un paiement de base découplé, des outils de gestion de risque, l’accompagnement des investissements, l’accès à l’innovation.
L’approche environnementale doit être révisée, poursuit la Cepm, afin de susciter l’adhésion des agriculteurs. « Le verdissement doit valoriser les démarches individuelles ou collectives des agriculteurs sans affaiblir la production, le revenu ».