Les tas d’écart de triage doivent être absolument gérés (bâchage, herbicides répétés, retournement, mélange avec fumier… les solutions existent !), car ils sont souvent à l’origine de contaminations primaires du mildiou, rappelle la Fiwap dans son avis du 13 juin.
Les repousses de pomme de terre dans les cultures de betteraves, maïs, chicorées, oignons, pois, haricots, sont moins fréquemment à l’origine des contaminations primaires du mildiou. Leur densité est moindre, donc la période d’humectation est réduite. Ces repousses ayant subi plusieurs passages...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique