Par les temps qui courent, réfléchir n’est pas un luxe, ni un passe-temps pour « intellos » qui n’ont rien de mieux à faire pour se rendre utile. Il faut ouvrir tout grand les yeux et regarder autour de soi ; tendre l’oreille aux quatre vents ; prendre de la hauteur, changer de perspective, garder toute sa lucidité. Essayer humblement de discerner la marche des choses, sans se voiler la face ni s’émouvoir : comprendre par exemple pourquoi le marché de la viande bovine semble naviguer comme un bateau ivre, sans gouvernail, jouet à la dérive sur...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique










