Les États-Unis ont toutefois mis à profit cette réunion pour insister, dans une déclaration conjointe avec l’Argentine, le Brésil et le Canada, sur le « rôle considérable » des biotechnologies, « y compris les biotechnologies de précision ». Les ministres de l’Agriculture de ces États se font donc les avocats d’approches mondiales « pour la gestion de la présence à faible concentration de cultures biotechnologies qui soient fonctionnelles, basées sur la science, prévisibles et transparentes ».