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Sols très secs, insectes très rares

La sécheresse persistante se traduit par des levées et des croissances disparates. Les colzas les plus précoces semés en août sont à 2 feuilles, tandis que les semis de début septembre ne sont pas encore levés.

Les altises sont quasi-absentes de la culture de colza d’hiver. Quelques rares piqûres peuvent être observées sur les cotylédons. La surveillance doit continuer même en cas de fraîcheur car le colza est sensible aux morsures d’altises jusqu’à 3-4 feuilles.

Un bassin mi-enterré avec de l’eau savonneuse permet de repérer l’arrivée des insectes en colza...

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A Rumillies, l’homme qui murmurait à l’oreille des peupliers

Filière bois Dans le Tournaisis, Tanguy Duphénieux réinvente un geste agricole aussi ancien que visionnaire : marier l’arbre et la culture. Héritier d’une lignée de populiculteurs, l’agriculteur incarne une agroforesterie wallonne exigeante, enracinée dans la tradition mais tournée vers l’avenir. Loin d’être un simple ornement du paysage, le peuplier devient ici un auxiliaire du vivant, un compagnon du sol et un symbole d’équilibre retrouvé entre production et régénération. Dans le bruissement de ses feuillages se dessine une alliance de raison et de poésie, où l’arbre n’est plus en marge du champ, mais en est le cœur battant.
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