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Malgré dix ans de croissance, toujours trop peu d’agneaux pour alimenter le marché wallon

Ovins, caprins Le début du XXe siècle a vu la pratique de l’élevage ovin se perdre au sein de nos campagnes, au profit de l’élevage bovin. Aujourd’hui, par manque de tradition, le secteur ovin wallon manque encore et toujours d’éleveurs professionnels et surtout d’agneaux pour satisfaire la demande du consommateur. Au niveau belge, à ce jour, seuls 16 % de la viande ovine consommée sont produits localement.
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Le lait wallon se distingue par sa qualité constante

Le Comité du Lait a publié, voici quelques jours, le rapport de ses activités conduites en 2021. Parmi les nombreuses informations qu’il recèle, on y lit que les éleveurs laitiers ont fait un travail remarquable, comme de coutume. En effet, bien que certains indicateurs accusent un léger recul, le lait wallon demeure d’une excellente qualité, à l’image de ce qui a pu être observé les années précédentes.

Émissions industrielles : levée de boucliers du secteur de l’élevage

Afin de renforcer l’efficacité de sa directive sur les émissions industrielles, la commission prépare une révision qui prévoit d’abaisser le seuil « d’unités de bétail » à partir duquel les installations de porcs et de volailles sont couvertes, et d’ajouter l’élevage bovin dans son champ d’application.

Les pisciculteurs wallons craignent pour leur avenir

La Wallonie ne recense à l’heure actuelle que 40 pisciculteurs professionnels. Trop peu nombreux pour satisfaire la consommation intérieure, ceux-ci s’inquiètent pour l’avenir de leur filière qui peine à attirer les jeunes, malgré l’attrait croissant des consommateurs pour un poisson élevé et transformé localement.

Garder le cap malgré le prix des aliments en élevage ovin viande

En ovins viande, ce printemps 2022 est aussi marqué par des éléments positifs : des cours d’agneaux qui se maintiennent à un niveau élevé, une bonne prolificité des brebis qui ont mis bas en fin d’hiver. Il convient donc de garder le cap malgré la forte augmentation du prix des aliments. Parmi les leviers possibles pour acheter moins d’aliment, alloter les animaux avec les mêmes besoins alimentaires reste la principale source d’économie.

Le choix des lecteurs

Une réduction de 74% des aliments médicamenteux antibiotiques

La préoccupation sociétale concernant l’utilisation d’antibiotiques dans la production animale reste une question importante, également pour la Belgian Feed Association (BFA). Ces dernières années, la BFA s’est fortement engagée à réduire l’utilisation d’antibiotiques dans les aliments médicamenteux. En 2021, une réduction de 74 % a été réalisée par rapport à 2011. L’objectif d’une réduction de 75 % d’ici 2024 est ainsi à portée de main.

Royal A-ware rachète Olympia

Les entreprises familiales laitières belge Olympia et néerlandaise Royal A-ware ont annoncé, ce 19 avril, avoir conclu un accord permettant la reprise de la première par la seconde.

Près de 50% des fermes wallonnes pourraient déjà adhérer à une stratégie de tarissement sélectif

Dans le cadre d’un webinaire sur la thématique des antibiotiques organisé par l’Amcra et l’Afsca, Léonard Théron portait sa casquette de vétérinaire pour le compte de l’Union professionnelle vétérinaire. Son objectif du jour : présenter la complexité du tarissement sélectif. « Comme toute stratégie en ferme, cela se réfléchit, se prépare… avant de se lancer avec des filets de sécurité. »

Antibiorésistance : des niveaux toujours élevés chez les salmonelles et Campylobacter

Les bactéries Salmonella et Campylobacter continuent d’afficher des niveaux élevés de résistance aux antibiotiques, que ce soit chez l’homme ou les animaux d’élevage, indiquent le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (Ecdc) et l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) dans leur rapport annuel sur la question.

La prairie, une culture à part entière qui s’entretient et se régénère

L’altération des prairies résulte généralement de plusieurs facteurs. Aux conditions climatiques et autres dégâts de gibier, fréquemment épinglés par les agriculteurs, s’ajoute l’évolution des techniques de récolte des fourrages. Les opérations de régénération et d’entretien apparaissent donc comme étant essentielles pour maintenir, voire accroître, la productivité et la qualité des parcelles herbagées. Et ce, d’autant que bien menées, elles ont une influence directe et positive sur le bilan financier d’une exploitation.