– favoriser le contrôle des populations de mulots par les rapaces. Cette technique est proposée dans le cadre de la lutte intégrée. L’installation des perchoirs – à au moins à 2 m au-dessus du sol pour offrir aux rapaces une vue panoramique – dans les zones dégagées peut favoriser cette prédation naturelle ;
– 2 à 3 semaines avant le semis, alimenter préventivement les mulots avec des grains non traités pour leur procurer une habitude alimentaire alternative et limiter leur attirance pour les graines de betterave. Cette alimentation se limitera aux zones à risques, à savoir : les champs qui sont longtemps restés sous une culture d’engrais vert ou situés à proximité de talus enherbés ou de bois