Cette publication, souligne la Commission, fait directement suite au rapport sur les protéines végétales dans l’UE publié en novembre 2018 afin de réfléchir à la manière de développer davantage leur production. L’une des propositions du rapport est d’améliorer l’analyse et la transparence du marché grâce à de meilleurs outils de suivi.
Les fabricants européens d’aliments pour animaux (Fefac) se sont félicités de cette publication qui catégorise « les sources de protéines en fonction de leur valeur protéique, car, rappellent-ils, « toutes les protéines végétales ne sont pas égales, et les possibilités de substitution entre les catégories sont limitées ».