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Trois lectures bouleversantes

Temps de lecture : 2 min

« Un jour comme les autres tout devient différent. On nous annonce une mort, une naissance et dès lors rien ne sera plus pareil », dit Éric Emmanuel Schmitt. En cette période de Toussaint, voilà venu le moment de penser à nos défunts, à leurs proches, leur entourage, et de leur témoigner notre sympathie, nos pensées ou encore leur rendre visite au cimetière.

Divers livres nous parlent de la mort, de la perte d’un être cher, d’une manière ou d’une autre. En voici trois, sortis il y a peu, et qui abordent la mort à divers stades de la vie.

« L’enfant » de Patricia Vergauwen et Francis van de Woestyne

Un récit bouleversant écrit par des parents ayant perdu leur fils de 13 ans accidentellement. Un quotidien dira de ce livre : « un enfant, récit à deux voix, quatre mains, et mille chagrins ». Un livre qui nous redit combien le bonheur est fragile et qu’il faut vivre intensément le présent. Superbe d’amour, de vérité, de fragilité, de sensibilité… Préparez vos mouchoirs.

« Une seconde de trop » de Linda Green

Roman d’un tout autre genre que l’on pourrait presque ranger dans la catégorie livre à suspens, intrigue. Et pourtant, ce livre nous délivre lui aussi de nombreux messages. La mort d’un enfant (ici, le suicide) peut conduire une mère à un geste tellement improbable. Une minute d’inattention peut bouleverser toute une famille. Roman qui nous tient en haleine jusqu’au bout.

« Journal d’un amour perdu » d’Éric Emmanuel Schmitt

L’auteur perd sa maman. Tout à coup, il fait le bilan de cette vie et de sa vie auprès de sa maman. Il se rend compte de tout ce qu’elle a été pour lui, dans sa construction d’homme, d’être humain. « Quoique morte, maman, n’est pas mortelle. Elle demeure en moi, le meilleur de moi, mon aspiration à l’essentiel ». Un livre qui nous rappelle qu’une maman, nous n’en avons qu’une. Ne l’oublions jamais.

Les personnes que nous aimons, où qu’elles soient, restent à jamais dans nos cœurs.

MCl

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