La forêt de St-Michel-Freyr…une alternative à Nassonia

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Selon lui, ce type de partenariat public-privé peut en effet révéler de belles opportunités pour expérimenter, sur un territoire précis, une gestion différenciée faisant la part belle à la biodiversité et recelant en même temps un potentiel d’accroissement du tourisme diffus, tout en maintenant le principe du régime forestier inhérent aux propriétés publiques et garant d’un équilibre fonctionnel.

Le Ministre avait chargé les universités wallonnes compétentes en matière forestière, à savoir Gembloux Agro Biotech et l’UCL, d’identifier les territoires forestiers susceptibles d’expérimenter un projet similaire à celui porté par Eric Domb et répondant à certains critères. Les forêts identifiées sont les forêts domaniales ou indivises de Mellier, St-Michel-Freyr, de Herbeumont, d’Eupen et d’Anlier. 10 forêts communales ou de CPAS ont également rencontré les critères et objectifs fixés. Parallèlement à cet exercice, l’Administration a été chargée d’étudier les modalités substantielles d’un partenariat entre la Wallonie et un propriétaire public qui marquerait un intérêt pour cette expérience.

Dès lors, le Ministre constate que le territoire de Saint-Michel Freyr présente de nombreux avantages. En effet, de par sa proximité géographique avec le site initialement visé par la Fondation Pairi Daiza et le fait qu’il s’agisse d’une propriété domaniale, ce site présente par conséquent un intérêt de nature à rencontrer les conditions favorables à la création d’un projet expérimental de gestion forestière différenciée en Wallonie.

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