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Voix de la terre

Voix de la terre

Ingénieur.e.s Colum-bio

Voix de la terre La semaine dédiée à l’agriculture bio n’a pas manqué de sel, durant ce mois de juin ! Elle est tombée pile poil pendant une période clef du déconfinement, en pleine décrue de la pandémie de Covid-19. Le soleil l’a illuminée de ses rayons ardents, et a engendré une croissance phénoménale de la végétation printanière ! Toutes les planètes étaient alignées pour donner chance et succès à cette mise à l’honneur du bio. Médias et organismes de promotion ont mis les petits plats dans les grands, cuisinés par un inspecteur Colum-bio censé être drôle mais pas très percutant, – « Mon dieu, protégez-moi de mes amis ; mes ennemis, je m’en charge ! », disait le duc de Malborough… De mon côté, pour marquer le coup, je me suis rendu le mardi 8 à Libramont, au Centre de Recherches Agronomiques, un CRA pas du tout « cracra »… Les ingénieur.e.s Colum-bio m’ont épaté !
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La chevauchée des vaches qui rient

« La Vache qui rit »’ a fêté ses cent ans ce 16 avril 2021 ! Sa bonne bouille rouge, ses jolies boucles d’oreilles et son sourire éclatant ont traversé les décennies, exemple parfait d’un marketing réussi au-delà de toute espérance, pour le meilleur… et pour le pire !

Où sont les femmes?

Ursula n’en revient toujours pas ! Lors de la rencontre Union Européenne-Turquie, le Belge Michel et l’Ottoman Erdogan se sont octroyé les deux seuls fauteuils disponibles, tels deux gros pachas sur leur trône, la reléguant au sofa surbaissé, en position inconfortable et humiliante, éloignée des deux « mecs », corps crispé et cou tordu pour suivre la conversation. La « légendaire » galanterie des mâles politiques n’a pas failli à sa réputation… En 2021!!

Les fermiers du week-end

On les appelle « agriculteurs à titre complémentaire » ou « à temps partiel ». Je préfère dire « fermiers du week-end » ! Fiers comme des rois, ils s’occupent de leur exploitation agricole les samedi, dimanche, jours de congé, bien souvent chaque soirée et chaque matin, avant et après le turbin. Ce sont tous des passionnés, des amoureux de la terre et des animaux, du travail en plein air et des activités agricoles. Le rendement financier de leur second métier est fort réduit, le plus souvent. Qu’à cela ne tienne, leurs motivations sont ailleurs ! Qui sont-ils ? Ne seront-ils pas les paysans de demain ?

Le choix des lecteurs

Non, non, rien n’a changé

Jeudi soir, après avoir lu et relu les articles du Sillon Belge, mon ami Armand m’a téléphoné longuement au sujet de la manifestation agricole du 23 mars 1971. Il était à la fois content et triste. Content d’avoir vu son témoignage couché sur papier, triste de n’avoir trouvé nulle part dans la presse non agricole, des échos de ce cinquantième anniversaire. Les gens oublient très vite… Ce fut pourtant une date charnière, la fin d’un monde, le chant du cygne de la paysannerie. Selon lui, cette flambée de colère n’a rien amené de bon, au final. Elle a surtout servi de révélateur d’un changement de société, d’une mutation inéluctable à l’œuvre dans nos campagnes depuis la fin de la Guerre 40-45.

Quel futur pour l’énergie éolienne domestique?

Lettre ouverte au ministre Philippe Henry: Il y a 40 ans, le recours à l’éolien et au solaire était une façon du citoyen lambda de répondre aux deux crises pétrolières, à savoir produire de l’électricité chez soi. Là où le vent le permet, il était envisageable d’obtenir un permis communal d’implantation pour une éolienne domestique. Mais les choses ont changé entre-temps, semble-t-il.

Gâchis parmentier

Humeur morose ? Moral dans les chaussettes ? Besoin d’un bon coup de boost pour retrouver le sourire ? Regardez donc le dessin animé « Petite patate » sur Youtube ! « The amazing patate show » me fait à chaque fois bien rigoler ! Je sais, c’est idiot ; j’ai passé l’âge… Je l’ai écouté l’autre jour pour me remettre d’aplomb, après avoir regardé l’émission « Investigation » sur la RTBF, consacrée aux usines à pommes de terre du Hainaut. « Frites surgelées, un univers impitoyable ! ». On se serait cru dans un roman de Zola, nimbé d’une forte odeur de fric et de friture. Antoine Parmentier, le Monsieur « Patates » français du 18e siècle, l’aurait trouvé bien bonne mais un peu grasse à digérer, sans aucun doute !