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Voix de la terre

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Bonne année!

Voix de la terre Quelle sympathique coutume nous procure-t-elle le plus de plaisir : présenter ses bons vœux de Nouvel An, ou les recevoir ? Sans doute les deux, à égalité ! Quelque part au fond de notre petit cœur, on a beau se dire que tous ces souhaits sont trop beaux pour être vrais, trop convenus pour être sincères, nous les attendons néanmoins chaque année avec un plaisir inégalé, que rien ne gâche. On veut y croire, et on y croit, à cette « Bonne Année ! », que chacun appelle de tous ses vœux et souhaite à son prochain ! Or donc, les premiers jours de janvier nous voient regonflés à bloc, confits de belles résolutions, confiants dans l’avenir proche, puisque tout le monde a prononcé les formules magiques des bons vœux, lesquels attireront sur nous les faveurs du Destin. L’année qui vient ne pourra être que « bonne » ! On est bien d’accord ?
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Maxi-statut, mini-pension

Chacun a voix au chapitre, pour râler et dénoncer ce qu’il considère comme des injustices. Certains se taisent toute leur vie et encaissent : leurs gémissements ne sont que murmures, et personne ne les écoute jamais. Parfois, sur le tard, ces voix ténues prennent soudain du volume et crient leur révolte. Des voix de la terre, par exemple…

Des bougies à Sainte-Rita

Toussaint et Jour des Morts sont moins tristes qu’il n’y paraît, car célébrer les défunts donne aux vivants une belle occasion de se rencontrer et fraterniser, lors des offices religieux, sur le parvis de l’église ou dans les allées des cimetières. On se bise et on papote en famille ; on discute entre amis ; on taille une bavette au bord des tombes, sans manquer le moins du monde de respect pour nos chers disparus. De quoi parle-t-on ? De la pluie -qui a manqué en été- et du beau temps -un rien trop chaud pour la saison, mais qui fait pousser les herbes-. On s’intéresse à la santé de son interlocuteur ; on prend des nouvelles de la famille. On parle de tout et de rien ; on blague et on rit -jaune- d’une actualité qui a pris des allures d’Halloween au quotidien, avec un croque-mitaine russe et sa menace nucléaire, un coût des énergies terrifiant, la trouille de voir nos carrosses transformés en citrouilles…

Balayer devant sa porte

Permettez-moi de vous poser une question toute simple : quelle molécule industrielle de synthèse retrouve-t-on dans toutes les eaux de surface, partout dans le monde, de l’Arctique à l’Antarctique ? La plupart des personnes interrogées répondront à l’unisson : le glyphosate ! Les bien-pensants écologistes citeront aussi le DDT (insecticide organochloré), les organophosphorés, les carbamates, etc. TOUS pointeront du doigt des produits employés en agriculture, et ils auront TOUT faux ! Car cette fameuse molécule présente absolument partout dans les rivières de tous les continents, n’est autre que le « bête » paracétamol ! Ces lustucrus l’eussent-ils cru??

Voyage au pays des sapins de Noël

Pour moi, l’Ardenne, c’est surtout la Foire de Libramont, de vieux souvenirs de camps scouts en bordure de forêt et… les chroniques de Marc Assin dans le Sillon Belge.

Nos chères petites têtes blondes…

Réforme des congés scolaires oblige, les petites vacances de Toussaint s’étalent sur deux longues semaines à partir de cette année. Panique à bord dans pas mal de familles !

Le choix des lecteurs

Le bon sens paysan a du plomb dans l’aile

On a tous pris conscience ces dernières années d’une méfiance grandissante de la population vis-à-vis du monde agricole. Et a fortiori, on constate que cette méfiance est alimentée en grande partie par une perte de bon sens, le « bon sens paysan » comme on se plaît à l’appeler.

Viser l’efficacité psycho-climatique

Il est fini, le temps où les gens redoutaient d’avoir faim. La valse des caddies dans les supermarchés reflète notre société d’abondance. Le mot-clé du concert des médias est désormais l’énergie.

Reculer pour mieux sauter?

Est-il honteux de faire marche arrière, contraint et forcé, d’admettre que l’on a pris des habitudes désastreuses, des décisions catastrophiques, et qu’il serait opportun de revoir sa manière de fonctionner ? A-t-on peur de perdre la face ?

À table!

Assiettons-nous à table, et fourchettons ensemble combien coûte à la grosse louche ce qui transite par nos casseroles et passe sous nos couteaux ! Cette mise sur le gril va-t-elle nous couper l’appétit ? Serons-nous bons ensuite à ramasser à la petite cuillère ?