On vous a compris!











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L’An Nouveau est arrivé ! Il s’est ouvert à nous comme un coffret-découverte de sachets de tisanes, où diverses fleurs et épices sont proposées : cannelle, vanille, verveine, tilleul, camomille, thé, etc. À nous de picorer parmi un large éventail de fragrances, au jour le jour !

Suite à la Voix de la Terre de Marc Assin publiée dans Le Sillon Belge du 7 décembre dernier sous le titre « Un métier aux mille dangers », je voudrais rappeler que nous, agriculteurs belges, évoluons dans un pays où l’agréation et l’utilisation de PPP doivent répondre à une législation des plus strictes au monde. Nous y arrivons grâce aux énormes investissements et aux importants efforts des firmes et des agriculteurs, notamment.

Chère Bienveillance,
J’ai tourné trente-six fois ma plume dans l’encrier avant de trouver les mots pour t’écrire. Tu représentes une énigme à mes yeux, vois-tu ! Je voudrais tant te trouver, toi si fugace, nulle part où on t’attend, parfois là où on ne t’attend pas. Mes propos sont-ils trop sibyllins ? Pardonne-moi ! Je désirerais simplement, amie Bienveillance, te souhaiter le meilleur du monde en cette veille de Noël, une fête chère à ton cœur, je n’en doute pas !


Comme c’est curieux : pendant 50 ans, on n’a juré que par l’azote, le grand vecteur de productivité, et le carbone laissait fort indifférent. Depuis peu, c’est le contraire !







J’avais lu dans « l’autre grand journal agricole wallon » que Sylvie Brunel avait sorti un nouveau livre : « Nourrir, cessons de maltraiter ceux qui nous font vivre ».

L’agriculture est une activité à risques au-dessus de laquelle plane sans cesse le danger, prêt à fondre sur nous comme un rapace, et nous voler notre santé ou notre intégrité physique ! Les incidents et accidents sont légion dans les fermes et dans les champs, et les risques le plus graves ne sont pas spécialement les plus évidents ni les plus spectaculaires…

Ce dernier vendredi de novembre a été particulièrement sombre, sans soleil, avec la lampe allumée toute la journée dans notre vieille ferme aux petites fenêtres, un décès dans notre entourage, une actualité peu réjouissante où que l’on tourne la tête. Vendredi noir, « black friday » disent les anglophones.

J’ai lu, avec beaucoup d’intérêt, l’article de Manou en page 5 du Sillon de ce 9 novembre. Si j’ai bien compris, il s’agit d’une servitude puisque le terrain n’appartient pas à la commune de Comines-Warneton.

L’eau ces temps-ci sème l’émoi : l’eau que l’on choie, celle que l’on boit, celle qui nous noie… Les médias s’en donnent à cœur joie ; ministre et responsables sont aux abois ! Comme beaucoup d’autres Belges, je suis allé voir du côté des analyses de la SWDE, et j’ai pu constater l’excellente qualité de notre eau de robinet : pas de pesticides chez nous, ni PFAS et autres molécules présentées comme suspectes. En même temps, quand on habite loin des usines, au milieu des prairies et des forêts sur les hauteurs de l’Ardenne, c’est facile d’être peu pollué. Tout le monde en Wallonie ne peut en dire autant ! Hélas…
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