Dans cette réserve naturelle de 2 ha, les cerisiers noirs ont été enlevés, permettant à de nombreuses jeunes plantes comme des genêts, des jasiones des montagnes ou des millepertuis rampants, de se développer. Celle-ci ont favorisé ensuite l'arrivée de petits reptiles comme des lacertiliens et des orvets, mais aussi d es champignons et des insectes comme des criquets, des bourdons, des papillons et, in fine, des abeilles.
«Grâce à ces initiatives de gestion, couplées à un versant sud, un sol sablonneux et des pâturages appropriés pour les moutons, le site est devenu un cadre privilégié pour les abeilles sauvages. Nous y trouvons la complexité d'un eco-système qui fonctionne bien et dans lequel certaines sortes d'abeilles peuvent exécuter leur tâche sans être perturbées par des parasites», relève M. Macquoy.
(Belga)