Les prochaines étapes consistent à obtenir les agréments de l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca), la remise en état de l’outil, le recrutement du personnel, la mise en relation avec les acteurs locaux et la relance des abattages.
« Il est important de pouvoir réactiver au plus vite l’abattoir, situé au cœur de la région du sud-est, une des régions par excellence pour l’élevage bovin. Dans un secteur aujourd’hui en crise, cette nouvelle positive devrait permettre de soutenir le commerce de détail et de réactiver des filières de valorisation. », estime le ministre wallon de l’Agriculture, Willy Borsus, au sujet de cette première étape.
Il indique encore que les outils wallons de promotion (Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité…) et de valorisation économique (Agence wallonne à l’exportation et aux investissements étrangers…) sont à la disposition du nouvel exploitant.